Prix Nobel de Littérature
Winterreise. Une pièce de théâtre
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- Nombre de pages155
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.215 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-02-104942-8
- EAN9782021049428
- Date de parution12/04/2012
- CollectionCadre vert
- ÉditeurSeuil
- TraducteurSophie Andrée Herr
Résumé
Ce virulent monologue, plus intime et politique que jamais, revisite principalement le cycle de vingt-quatre lieder de Schubert intitulé Die Winterreise, d'après des poèmes de Wilhelm Müller. Chaque lied composant ce cycle poético-musical est caractérisé par une figure, un emblème. Jelinek récupère ces figures à son profit et en propose une relecture contemporaine nourrie par une réflexion hyper critique sur le monde moderne, ses déviances, ses perversions, ses constellations : scandales politico-financiers, perversité de l'opinion publique, sexualité médiatisée par internet (affaire de Natascha Kampusch), culte du sport et de la jeunesse.
Sur fond d'un paysage délabré resurgit l'enfance ruinée de l'auteure, l'amour-haine d'une mère dominatrice et la démence du père. Porté par une langue qui bataille contre elle-même, le cycle s'achève sur une réflexion lucide et ironique quant à son propre rôle d'auteure : "Nous ne voulons pas vous écouter, vous, avec vos éternelles vieilles rengaines. Votre assiette est pleine, ça devrait vous suffire."
Sur fond d'un paysage délabré resurgit l'enfance ruinée de l'auteure, l'amour-haine d'une mère dominatrice et la démence du père. Porté par une langue qui bataille contre elle-même, le cycle s'achève sur une réflexion lucide et ironique quant à son propre rôle d'auteure : "Nous ne voulons pas vous écouter, vous, avec vos éternelles vieilles rengaines. Votre assiette est pleine, ça devrait vous suffire."
Ce virulent monologue, plus intime et politique que jamais, revisite principalement le cycle de vingt-quatre lieder de Schubert intitulé Die Winterreise, d'après des poèmes de Wilhelm Müller. Chaque lied composant ce cycle poético-musical est caractérisé par une figure, un emblème. Jelinek récupère ces figures à son profit et en propose une relecture contemporaine nourrie par une réflexion hyper critique sur le monde moderne, ses déviances, ses perversions, ses constellations : scandales politico-financiers, perversité de l'opinion publique, sexualité médiatisée par internet (affaire de Natascha Kampusch), culte du sport et de la jeunesse.
Sur fond d'un paysage délabré resurgit l'enfance ruinée de l'auteure, l'amour-haine d'une mère dominatrice et la démence du père. Porté par une langue qui bataille contre elle-même, le cycle s'achève sur une réflexion lucide et ironique quant à son propre rôle d'auteure : "Nous ne voulons pas vous écouter, vous, avec vos éternelles vieilles rengaines. Votre assiette est pleine, ça devrait vous suffire."
Sur fond d'un paysage délabré resurgit l'enfance ruinée de l'auteure, l'amour-haine d'une mère dominatrice et la démence du père. Porté par une langue qui bataille contre elle-même, le cycle s'achève sur une réflexion lucide et ironique quant à son propre rôle d'auteure : "Nous ne voulons pas vous écouter, vous, avec vos éternelles vieilles rengaines. Votre assiette est pleine, ça devrait vous suffire."