Sir Arthur Conan Doyle, né le 22 mai 1859 et mort le 7 juillet 1930, débute sa vie professionnelle en tant que médecin. C'est pour pallier aux nombres restreintes de visites de son cabinet qu'il commence à écrire. C'est ainsi que, inspiré de son professeur d'université, le célèbre détective Sherlock Holmes est né. Véritable référence dans le genre de la littérature policière, ce personnage excentrique et intellectuellement supérieur se base sur sa mémoire et son formidable esprit d'analyse et de déduction pour résoudre ses passionnantes enquêtes. Sa popularité est telle que, lorsque Conan Doyle décide de le faire mourir pour se consacrer à ses romans historiques, il reçoit énormément de courriers de lecteurs le suppliant de continuer. En tout, le détective apparaît dans 56 nouvelles et 4 romans écrits par l'auteur mais aussi dans de nombreuses œuvres d'autres romanciers. Parmi les histoires les plus populaires, laissez-vous tenter par Les énigmes de Sherlock Holmes ou le très célèbre Le chien des Baskerville. Après avoir dévoré tous les romans du célèbre limier, nous vous aidons à rassasier votre soif d'énigmes avec nos autres auteurs à succès. Agatha Christie et Le crime de l'Orient-Express, Patricia Cornwell et son Vent de glace ou encore Remède mortel d'Harlan Coben... voici quelques titres particulièrement appréciés de notre communauté de lecteurs qui vous captivent jusqu'au bout de la nuit.
Visite sur les trois fronts. Aperçu des lignes britanniques, italiennes et françaises
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- Nombre de pages82
- PrésentationBroché
- Poids0.105 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-251-31007-7
- EAN9782251310077
- Date de parution24/01/2014
- CollectionMémoires de guerre
- ÉditeurBelles Lettres
- TraducteurLaurent Bury
- PréfacierFrançois Malye
Résumé
Mai 1916. Sir Arthur Conan Doyle (1859-1930) arpente les fronts anglais, français et italiens. Dès le début du conflit, il a voulu s'engager mais à 55 ans, sa demande a été rejetée. Comme de nombreux écrivains et artistes britanniques, il rejoint alors le "War Propaganda Bureau", organisme secret chargé de la de manipulation de l'information, créé en septembre 1914. Le père de Sherlock Holmes retrouve ainsi le chemin de la guerre qu'il a connue durant le conflit des Boers.
Fervent défenseur de l'Empire britannique, son livre "Visites sur le front" magnifie l'action et le courage des soldats alliés devant l'horrible "Boche" Propagande ou pas, la guerre peinte par l'auteur de la "Compagnie blanche" a de l'allure. Personnages forcément superbes, portraits épiques de soldats et de cités en ruines, comme à Ypres : "C'est la ville d'un rêve, cette moderne Pompéi, détruite, désertée et profanée, mais avec une dignité fière et triste qui vous poussait malgré vous à baisser la voix en passant dans ses rues en ruines".
Ces visions de la guerre, sous la plume d'un des plus fabuleux conteurs de la littérature britannique, l'emportent largement sur son parti pris. Cette guerre, Conan Doyle lui paiera un lourd tribut. Il y perd son frère, le général Inès Doyle, en 1918 et surtout son fils aîné, Kingsley, grièvement blessé à la bataille de la Somme et qui mourra de maladie en octobre 1918, plongeant son père dans un désespoir dont il ne releva jamais.
Fervent défenseur de l'Empire britannique, son livre "Visites sur le front" magnifie l'action et le courage des soldats alliés devant l'horrible "Boche" Propagande ou pas, la guerre peinte par l'auteur de la "Compagnie blanche" a de l'allure. Personnages forcément superbes, portraits épiques de soldats et de cités en ruines, comme à Ypres : "C'est la ville d'un rêve, cette moderne Pompéi, détruite, désertée et profanée, mais avec une dignité fière et triste qui vous poussait malgré vous à baisser la voix en passant dans ses rues en ruines".
Ces visions de la guerre, sous la plume d'un des plus fabuleux conteurs de la littérature britannique, l'emportent largement sur son parti pris. Cette guerre, Conan Doyle lui paiera un lourd tribut. Il y perd son frère, le général Inès Doyle, en 1918 et surtout son fils aîné, Kingsley, grièvement blessé à la bataille de la Somme et qui mourra de maladie en octobre 1918, plongeant son père dans un désespoir dont il ne releva jamais.
Mai 1916. Sir Arthur Conan Doyle (1859-1930) arpente les fronts anglais, français et italiens. Dès le début du conflit, il a voulu s'engager mais à 55 ans, sa demande a été rejetée. Comme de nombreux écrivains et artistes britanniques, il rejoint alors le "War Propaganda Bureau", organisme secret chargé de la de manipulation de l'information, créé en septembre 1914. Le père de Sherlock Holmes retrouve ainsi le chemin de la guerre qu'il a connue durant le conflit des Boers.
Fervent défenseur de l'Empire britannique, son livre "Visites sur le front" magnifie l'action et le courage des soldats alliés devant l'horrible "Boche" Propagande ou pas, la guerre peinte par l'auteur de la "Compagnie blanche" a de l'allure. Personnages forcément superbes, portraits épiques de soldats et de cités en ruines, comme à Ypres : "C'est la ville d'un rêve, cette moderne Pompéi, détruite, désertée et profanée, mais avec une dignité fière et triste qui vous poussait malgré vous à baisser la voix en passant dans ses rues en ruines".
Ces visions de la guerre, sous la plume d'un des plus fabuleux conteurs de la littérature britannique, l'emportent largement sur son parti pris. Cette guerre, Conan Doyle lui paiera un lourd tribut. Il y perd son frère, le général Inès Doyle, en 1918 et surtout son fils aîné, Kingsley, grièvement blessé à la bataille de la Somme et qui mourra de maladie en octobre 1918, plongeant son père dans un désespoir dont il ne releva jamais.
Fervent défenseur de l'Empire britannique, son livre "Visites sur le front" magnifie l'action et le courage des soldats alliés devant l'horrible "Boche" Propagande ou pas, la guerre peinte par l'auteur de la "Compagnie blanche" a de l'allure. Personnages forcément superbes, portraits épiques de soldats et de cités en ruines, comme à Ypres : "C'est la ville d'un rêve, cette moderne Pompéi, détruite, désertée et profanée, mais avec une dignité fière et triste qui vous poussait malgré vous à baisser la voix en passant dans ses rues en ruines".
Ces visions de la guerre, sous la plume d'un des plus fabuleux conteurs de la littérature britannique, l'emportent largement sur son parti pris. Cette guerre, Conan Doyle lui paiera un lourd tribut. Il y perd son frère, le général Inès Doyle, en 1918 et surtout son fils aîné, Kingsley, grièvement blessé à la bataille de la Somme et qui mourra de maladie en octobre 1918, plongeant son père dans un désespoir dont il ne releva jamais.