Vision d'Egypte. Emile Prisse d'Avennes (1807-1879)
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.528 kg
- Dimensions16,6 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7177-2484-4
- EAN9782717724844
- Date de parution03/03/2011
- ÉditeurBNF
- PréfacierBruno Racine
Résumé
Ingénieur de formation, Emile Prisse d'Avennes devient tour à tour égyptologue, archéologue, ethnologue : il s'intéresse autant aux ruines pharaoniques qu'aux monuments islamiques, et vit à l'orientale au milieu de populations dont il observe les coutumes. Des deux séjours qu'il accomplit en Egypte, de 1827 à 1844, puis de 1858 à s86o, il rapporte des objets, le fameux Papyrus Prisse, intégralement reproduit ici et accompagné d'une traduction inédite, ainsi que la "Chambre des Ancêtres " de Thoutmosis III, installée un temps à la Bibliothèque royale avant de gagner le Louvre. Aquarelles et dessins, calques se déployant pour certains sur plusieurs mètres, estampages, photographies constituent un fonds iconographique sans égal destiné à nourrir les impressionnants recueils qu'il publie sur l'art égyptien et sur l'art arabe, de 1847 à sa mort (Monuments égyptiens, Oriental album, Histoire de l'art égyptien d'après les monuments, L'Art arabe d'après les monuments du Kaire), et dont certaines pièces sont parfois les derniers témoins de monuments ou de décors à présent disparus. Une " Egypte de papier" qui n'a cessé d'enchanter et d'inspirer Théophile Gautier, Maxime Du Camp ou Ernest Feydeau ses contemporains, et qui aujourd'hui encore nous invite au voyage...
Ingénieur de formation, Emile Prisse d'Avennes devient tour à tour égyptologue, archéologue, ethnologue : il s'intéresse autant aux ruines pharaoniques qu'aux monuments islamiques, et vit à l'orientale au milieu de populations dont il observe les coutumes. Des deux séjours qu'il accomplit en Egypte, de 1827 à 1844, puis de 1858 à s86o, il rapporte des objets, le fameux Papyrus Prisse, intégralement reproduit ici et accompagné d'une traduction inédite, ainsi que la "Chambre des Ancêtres " de Thoutmosis III, installée un temps à la Bibliothèque royale avant de gagner le Louvre. Aquarelles et dessins, calques se déployant pour certains sur plusieurs mètres, estampages, photographies constituent un fonds iconographique sans égal destiné à nourrir les impressionnants recueils qu'il publie sur l'art égyptien et sur l'art arabe, de 1847 à sa mort (Monuments égyptiens, Oriental album, Histoire de l'art égyptien d'après les monuments, L'Art arabe d'après les monuments du Kaire), et dont certaines pièces sont parfois les derniers témoins de monuments ou de décors à présent disparus. Une " Egypte de papier" qui n'a cessé d'enchanter et d'inspirer Théophile Gautier, Maxime Du Camp ou Ernest Feydeau ses contemporains, et qui aujourd'hui encore nous invite au voyage...