Vingt plats qui donnent la goutte

Par : Edouard de Pomiane
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  • Nombre de pages140
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.2 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,6 cm × 1,0 cm
  • ISBN979-10-96339-41-9
  • EAN9791096339419
  • Date de parution05/03/2019
  • CollectionArchives nutritives
  • ÉditeurMenu Fretin
  • PréfacierJulia Csergo

Résumé

"La goutte se meurt. [...] Est-ce une perte pour l'humanité ? Eh, oui ! Car cette affection que Sydenham attribuait à la Venus immodica était l'apanage de ceux qui avaient su trouver, dans la vie, des plaisirs qui ne nuisaient qu'à eux-mêmes. Il est beaucoup plus moral, en effet, de jeter un regard de convoitise sur une table bien servie que sur l'épouse de son voisin." C'est ainsi que l'inventeur de la Gastrotechnie pour qui la cuisine était l'antichambre du bonheur, débute avec humour, cet ouvrage présentant vingt plats savoureux dont la soupe aux oignons, le poulet à la reine Marie, la fondue au fromage ou encore les choux braisés à la viande perdue.
Edouard de Pomiane publie Vingt plats qui donnent la goutte en 1935, à la demande des laboratoires MIDY dont un médicament soignait la goutte. Il y propose une méthode scientifique pour bien cuire le riz, indique que la quiche peut se manger au petit-déjeuner et que si la bouillabaisse peut se suffire à elle-même, on peut, en période de chasse la compléter par un perdreau rôti... pour chacun.
"La goutte se meurt. [...] Est-ce une perte pour l'humanité ? Eh, oui ! Car cette affection que Sydenham attribuait à la Venus immodica était l'apanage de ceux qui avaient su trouver, dans la vie, des plaisirs qui ne nuisaient qu'à eux-mêmes. Il est beaucoup plus moral, en effet, de jeter un regard de convoitise sur une table bien servie que sur l'épouse de son voisin." C'est ainsi que l'inventeur de la Gastrotechnie pour qui la cuisine était l'antichambre du bonheur, débute avec humour, cet ouvrage présentant vingt plats savoureux dont la soupe aux oignons, le poulet à la reine Marie, la fondue au fromage ou encore les choux braisés à la viande perdue.
Edouard de Pomiane publie Vingt plats qui donnent la goutte en 1935, à la demande des laboratoires MIDY dont un médicament soignait la goutte. Il y propose une méthode scientifique pour bien cuire le riz, indique que la quiche peut se manger au petit-déjeuner et que si la bouillabaisse peut se suffire à elle-même, on peut, en période de chasse la compléter par un perdreau rôti... pour chacun.