Vingt-deux femmes sans importance. La nuit tragique des tourelles 30-31 juillet 1947

Par : Jean-Claude Demory

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  • Nombre de pages150
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.202 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-494297-64-7
  • EAN9782494297647
  • Date de parution25/04/2025
  • CollectionHistoire vraie
  • ÉditeurFélin (Editions du)

Résumé

Elles étaient vingt-deux et se prénommaient Simone, Marcelle, Gilberte, Emilienne, Jeanne... Yvonne, la plus jeune, avait 19 ans, Marie, la doyenne, 59. Détenues à la prison des Tourelles, dans le 20e arrondissement de Paris, elles sont mortes asphyxiées ou brûlées vives dans l'incendie de leur dortoir, dans la nuit du 30 au 31 juillet 1947. Toutes de milieux modestes, souvent seules, mères de famille veuves ou divorcées se débattant dans les innombrables difficultés d'un après-guerre où régnait la pénurie, elles étaient devenues délinquantes davantage par nécessité que par malhonnêteté.
A côté de celles-là, quelques-unes étaient poursuivies pour un délit désormais rayé de notre Code pénal, mais encore lourdement sanctionné à l'époque, l'avortement. Pour reconstituer ce fait divers authentique, qui en son temps bouleversa l'opinion et souleva d'abondantes polémiques, Jean- Claude Demory s'est plongé dans les archives de la Justice, de l'Administration pénitentiaire, de la préfecture de police, des sapeurs-pompiers de Paris, et dans la presse de l'époque.
Près de quatre-vingts ans après leur mort, il était temps de ressusciter la mémoire de ces "vingt-deux femmes sans importance".
Elles étaient vingt-deux et se prénommaient Simone, Marcelle, Gilberte, Emilienne, Jeanne... Yvonne, la plus jeune, avait 19 ans, Marie, la doyenne, 59. Détenues à la prison des Tourelles, dans le 20e arrondissement de Paris, elles sont mortes asphyxiées ou brûlées vives dans l'incendie de leur dortoir, dans la nuit du 30 au 31 juillet 1947. Toutes de milieux modestes, souvent seules, mères de famille veuves ou divorcées se débattant dans les innombrables difficultés d'un après-guerre où régnait la pénurie, elles étaient devenues délinquantes davantage par nécessité que par malhonnêteté.
A côté de celles-là, quelques-unes étaient poursuivies pour un délit désormais rayé de notre Code pénal, mais encore lourdement sanctionné à l'époque, l'avortement. Pour reconstituer ce fait divers authentique, qui en son temps bouleversa l'opinion et souleva d'abondantes polémiques, Jean- Claude Demory s'est plongé dans les archives de la Justice, de l'Administration pénitentiaire, de la préfecture de police, des sapeurs-pompiers de Paris, et dans la presse de l'époque.
Près de quatre-vingts ans après leur mort, il était temps de ressusciter la mémoire de ces "vingt-deux femmes sans importance".