Villes en crise ?. Les politiques municipales face aux pathologies urbaines (fin XVIIIe-début XXe siècle)
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- Nombre de pages742
- PrésentationBroché
- Poids0.63 kg
- Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 4,0 cm
- ISBN978-2-35428-007-9
- EAN9782354280079
- Date de parution03/04/2008
- ÉditeurCréaphis éditions
Résumé
L'afflux des populations dans l'espace urbain et l'accroissement des villes ont accompagné le développement de la société industrielle. Tout au long du XIXe siècle, la préoccupation des responsables municipaux a été d'organiser cet espace, afin de prévenir les désordres. La ville est considérée comme criminogène et il faut éviter que des populations échappent à tout contrôle social. L'insalubrité de l'habitat et ses conséquences ont toujours été un des soucis majeurs.
Y a-t-il un lien de causalité entre habitat urbain et criminalité ? Face à ces questions, les politiques hygiénistes ont tenté d'apporter une réponse et, au cours des premières décennies du XXe siècle, la bienfaisance privée fait place aux politiques publiques. Le radicalisme d'Edouard Herriot à Lyon, le socialisme de Vienne-la-Rouge, l'inspiration démocrate-chrétienne des municipalités MRP (Mouvement républicain populaire) montrent comment la sensibilité politique a inscrit ses spécificités idéologiques dans les programmes sociaux.
Et quelles sont les politiques urbaines contemporaines ? Peut-on parler de " villes en crise " ? En quoi le regard des historiens peut-il contribuer aux choix des politiques publiques actuelles ?
Y a-t-il un lien de causalité entre habitat urbain et criminalité ? Face à ces questions, les politiques hygiénistes ont tenté d'apporter une réponse et, au cours des premières décennies du XXe siècle, la bienfaisance privée fait place aux politiques publiques. Le radicalisme d'Edouard Herriot à Lyon, le socialisme de Vienne-la-Rouge, l'inspiration démocrate-chrétienne des municipalités MRP (Mouvement républicain populaire) montrent comment la sensibilité politique a inscrit ses spécificités idéologiques dans les programmes sociaux.
Et quelles sont les politiques urbaines contemporaines ? Peut-on parler de " villes en crise " ? En quoi le regard des historiens peut-il contribuer aux choix des politiques publiques actuelles ?
L'afflux des populations dans l'espace urbain et l'accroissement des villes ont accompagné le développement de la société industrielle. Tout au long du XIXe siècle, la préoccupation des responsables municipaux a été d'organiser cet espace, afin de prévenir les désordres. La ville est considérée comme criminogène et il faut éviter que des populations échappent à tout contrôle social. L'insalubrité de l'habitat et ses conséquences ont toujours été un des soucis majeurs.
Y a-t-il un lien de causalité entre habitat urbain et criminalité ? Face à ces questions, les politiques hygiénistes ont tenté d'apporter une réponse et, au cours des premières décennies du XXe siècle, la bienfaisance privée fait place aux politiques publiques. Le radicalisme d'Edouard Herriot à Lyon, le socialisme de Vienne-la-Rouge, l'inspiration démocrate-chrétienne des municipalités MRP (Mouvement républicain populaire) montrent comment la sensibilité politique a inscrit ses spécificités idéologiques dans les programmes sociaux.
Et quelles sont les politiques urbaines contemporaines ? Peut-on parler de " villes en crise " ? En quoi le regard des historiens peut-il contribuer aux choix des politiques publiques actuelles ?
Y a-t-il un lien de causalité entre habitat urbain et criminalité ? Face à ces questions, les politiques hygiénistes ont tenté d'apporter une réponse et, au cours des premières décennies du XXe siècle, la bienfaisance privée fait place aux politiques publiques. Le radicalisme d'Edouard Herriot à Lyon, le socialisme de Vienne-la-Rouge, l'inspiration démocrate-chrétienne des municipalités MRP (Mouvement républicain populaire) montrent comment la sensibilité politique a inscrit ses spécificités idéologiques dans les programmes sociaux.
Et quelles sont les politiques urbaines contemporaines ? Peut-on parler de " villes en crise " ? En quoi le regard des historiens peut-il contribuer aux choix des politiques publiques actuelles ?