Vers un christianisme culturel ?. Certaines données du christianisme demeurent dans la culture - sans engagement de foi. Evaluation du phénomène. Colloque de l'Observatoire Foi et Culture de la Conférence des évêques de France (10 décembre 2011)

Par : Guy Coq, Nicolas Perot, Philippe Malgouyres, Dominique Ponnau

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  • Nombre de pages186
  • PrésentationBroché
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-88918-118-6
  • EAN9782889181186
  • Date de parution25/10/2012
  • ÉditeurParole et Silence

Résumé

La sécularisation est un fait massif et reconnu. Est-elle pour autant totale ? Ce n'est pas évident. Non seulement parce qu'il existe toujours des croyants qui ne sont ni muets ni passifs, mais encore parce que, même si la foi apparaît désormais comme un choix personnel bien plus que comme la conséquence d'une appartenance à la société, elle continue de marquer l'identité collective à travers le patrimoine historique et artistique et jusque dans les moeurs.
C'est ce que l'on peut appeler le "christianisme culturel". Quels défis, mais aussi quelles opportunités offre-t-il à l'Eglise aujourd'hui ? Cet intérêt occasionnel et détaché pour la religion peut déconcerter ceux pour qui elle est centrale et décisive. Mais n'y a-t-il pas là un terrain commun entre les croyants et les autres ? Le christianisme sans foi n'a-t-il pas quelque chose à apporter dans le domaine de la culture et de la vision de l'homme qui sous-tend toute civilisation ? N'est-ce pas à ce niveau-là que l'Eglise s'est toujours inscrite dans les sociétés et qu'elle demeure appelée à le faire dans le contexte actuel ? C'est à ces questions, auxquelles l'Observatoire Foi et Culture de la Conférence des évêques de France a voulu inviter à réfléchir, qu'ici conservateurs de musée, universitaires et écrivains, chrétiens et non chrétiens, proposent des réponses fondées sur leurs compétences et leur expérience.
La sécularisation est un fait massif et reconnu. Est-elle pour autant totale ? Ce n'est pas évident. Non seulement parce qu'il existe toujours des croyants qui ne sont ni muets ni passifs, mais encore parce que, même si la foi apparaît désormais comme un choix personnel bien plus que comme la conséquence d'une appartenance à la société, elle continue de marquer l'identité collective à travers le patrimoine historique et artistique et jusque dans les moeurs.
C'est ce que l'on peut appeler le "christianisme culturel". Quels défis, mais aussi quelles opportunités offre-t-il à l'Eglise aujourd'hui ? Cet intérêt occasionnel et détaché pour la religion peut déconcerter ceux pour qui elle est centrale et décisive. Mais n'y a-t-il pas là un terrain commun entre les croyants et les autres ? Le christianisme sans foi n'a-t-il pas quelque chose à apporter dans le domaine de la culture et de la vision de l'homme qui sous-tend toute civilisation ? N'est-ce pas à ce niveau-là que l'Eglise s'est toujours inscrite dans les sociétés et qu'elle demeure appelée à le faire dans le contexte actuel ? C'est à ces questions, auxquelles l'Observatoire Foi et Culture de la Conférence des évêques de France a voulu inviter à réfléchir, qu'ici conservateurs de musée, universitaires et écrivains, chrétiens et non chrétiens, proposent des réponses fondées sur leurs compétences et leur expérience.
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