Une histoire érotique de la diplomatie. De Louis XIV aux gaullistes
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- Nombre de pages300
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.35 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-228-91653-0
- EAN9782228916530
- Date de parution26/10/2016
- ÉditeurPayot
Résumé
Du Grand Siècle à la Cinquième République, on a beaucoup couché pour maintenir la grandeur de l'Etat, et la diplomatie française fut faite de relations amoureuses ou sexuelles plus souvent qu'on ne croit. Il y eut des ambassadeurs-étalons, tel La Chétardie auprès de la tsarine Elisabeth Petrovna, et des maîtresses influentes, telle la Castiglione venue plaider la cause de l'Unité italienne dans le lit de Napoléon III.
Il y eut des diplomates restés célèbres pour leur chaude nature, comme Bernis, tandis que d'autres passent à tort pour froids, comme Guizot. Après que les ébats des rois de France eurent secoué l'Europe, la République finança avec le plus grand sérieux une politique étrangère érotique : sous la Troisième, l'expression officielle "visite au président du Sénat" désignait en réalité les plaisirs officieux que se voyaient offrir princes et souverains séjournant à Paris.
Une histoire à rebondissements où les valises diplomatiques sont aussi des vanity-cases.
Il y eut des diplomates restés célèbres pour leur chaude nature, comme Bernis, tandis que d'autres passent à tort pour froids, comme Guizot. Après que les ébats des rois de France eurent secoué l'Europe, la République finança avec le plus grand sérieux une politique étrangère érotique : sous la Troisième, l'expression officielle "visite au président du Sénat" désignait en réalité les plaisirs officieux que se voyaient offrir princes et souverains séjournant à Paris.
Une histoire à rebondissements où les valises diplomatiques sont aussi des vanity-cases.
Du Grand Siècle à la Cinquième République, on a beaucoup couché pour maintenir la grandeur de l'Etat, et la diplomatie française fut faite de relations amoureuses ou sexuelles plus souvent qu'on ne croit. Il y eut des ambassadeurs-étalons, tel La Chétardie auprès de la tsarine Elisabeth Petrovna, et des maîtresses influentes, telle la Castiglione venue plaider la cause de l'Unité italienne dans le lit de Napoléon III.
Il y eut des diplomates restés célèbres pour leur chaude nature, comme Bernis, tandis que d'autres passent à tort pour froids, comme Guizot. Après que les ébats des rois de France eurent secoué l'Europe, la République finança avec le plus grand sérieux une politique étrangère érotique : sous la Troisième, l'expression officielle "visite au président du Sénat" désignait en réalité les plaisirs officieux que se voyaient offrir princes et souverains séjournant à Paris.
Une histoire à rebondissements où les valises diplomatiques sont aussi des vanity-cases.
Il y eut des diplomates restés célèbres pour leur chaude nature, comme Bernis, tandis que d'autres passent à tort pour froids, comme Guizot. Après que les ébats des rois de France eurent secoué l'Europe, la République finança avec le plus grand sérieux une politique étrangère érotique : sous la Troisième, l'expression officielle "visite au président du Sénat" désignait en réalité les plaisirs officieux que se voyaient offrir princes et souverains séjournant à Paris.
Une histoire à rebondissements où les valises diplomatiques sont aussi des vanity-cases.