Une histoire de la Nouvelle-France. Français et Amérindiens au XVIe siècle
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- Nombre de pages285
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.412 kg
- Dimensions14,9 cm × 22,1 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-410-01337-5
- EAN9782410013375
- Date de parution15/05/2019
- CollectionHistoire
- ÉditeurBelin
Résumé
En 1534, Jacques Cartier explore le " grand fleuve ", le Saint-Laurent, en quête de nouvelles terres et de nouvelles richesses pour le royaume de France. Il y rencontre Micmacs et Iroquoiens avec lesquels il fait affaire : couteaux, tissus, perles de verre contre de précieuses peaux de castors. Bien avant de pratiquer l'échange linguistique, Français et Amérindiens ont échangé des objets. C'est par ces objets que l'auteur, professeur à l'université de Laval, à Québec, retrace l'histoire des premiers temps de la colonie de Nouvelle-France.
Le recours à la culture matérielle est d'autant plus justifié dans le cadre de ce livre que les Amérindiens, sans écriture, n'ont laissé aucun texte de leur expérience des contacts. En un peu moins de 300 pages, Laurier Turgeon explore les usages français de deux objets d'origine américaine (la morue et les peaux de castor) et les appropriations amérindiennes de deux objets d'origine française (les chaudrons de cuivre et les perles de coquillage et de verre).
Chaque objet offre une perspective différente sur cette dynamique de l'appropriation de la culture de l'autre, puis éclaire différents aspects de cette histoire interconnectée. D'une grande originalité, ce texte repose sur un vaste ensemble de sources —imprimées, manuscrites, iconographiques et archéologiques — largement inédites.
Le recours à la culture matérielle est d'autant plus justifié dans le cadre de ce livre que les Amérindiens, sans écriture, n'ont laissé aucun texte de leur expérience des contacts. En un peu moins de 300 pages, Laurier Turgeon explore les usages français de deux objets d'origine américaine (la morue et les peaux de castor) et les appropriations amérindiennes de deux objets d'origine française (les chaudrons de cuivre et les perles de coquillage et de verre).
Chaque objet offre une perspective différente sur cette dynamique de l'appropriation de la culture de l'autre, puis éclaire différents aspects de cette histoire interconnectée. D'une grande originalité, ce texte repose sur un vaste ensemble de sources —imprimées, manuscrites, iconographiques et archéologiques — largement inédites.
En 1534, Jacques Cartier explore le " grand fleuve ", le Saint-Laurent, en quête de nouvelles terres et de nouvelles richesses pour le royaume de France. Il y rencontre Micmacs et Iroquoiens avec lesquels il fait affaire : couteaux, tissus, perles de verre contre de précieuses peaux de castors. Bien avant de pratiquer l'échange linguistique, Français et Amérindiens ont échangé des objets. C'est par ces objets que l'auteur, professeur à l'université de Laval, à Québec, retrace l'histoire des premiers temps de la colonie de Nouvelle-France.
Le recours à la culture matérielle est d'autant plus justifié dans le cadre de ce livre que les Amérindiens, sans écriture, n'ont laissé aucun texte de leur expérience des contacts. En un peu moins de 300 pages, Laurier Turgeon explore les usages français de deux objets d'origine américaine (la morue et les peaux de castor) et les appropriations amérindiennes de deux objets d'origine française (les chaudrons de cuivre et les perles de coquillage et de verre).
Chaque objet offre une perspective différente sur cette dynamique de l'appropriation de la culture de l'autre, puis éclaire différents aspects de cette histoire interconnectée. D'une grande originalité, ce texte repose sur un vaste ensemble de sources —imprimées, manuscrites, iconographiques et archéologiques — largement inédites.
Le recours à la culture matérielle est d'autant plus justifié dans le cadre de ce livre que les Amérindiens, sans écriture, n'ont laissé aucun texte de leur expérience des contacts. En un peu moins de 300 pages, Laurier Turgeon explore les usages français de deux objets d'origine américaine (la morue et les peaux de castor) et les appropriations amérindiennes de deux objets d'origine française (les chaudrons de cuivre et les perles de coquillage et de verre).
Chaque objet offre une perspective différente sur cette dynamique de l'appropriation de la culture de l'autre, puis éclaire différents aspects de cette histoire interconnectée. D'une grande originalité, ce texte repose sur un vaste ensemble de sources —imprimées, manuscrites, iconographiques et archéologiques — largement inédites.