Une fille pour du vent
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages63
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.085 kg
- Dimensions12,0 cm × 16,5 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-917304-02-0
- EAN9782917304020
- Date de parution01/12/2007
- CollectionL'archonte
- ÉditeurFluo
- PréfacierJean-Laurent Cochet
Résumé
Anclré Obey est né à Douai en 1892. Après une enfance passée entre le collège et l'école de musique, il se fait remarquer en 1924 en écrivant La très souriante Madame Beudet avec Denys Amiel. Il obtient en 1928 le prix Renaudot pour un de ses romans : Le joueur de triangle. C'est Jacques Copeau qui lui fait découvrir le théâtre. Il devient rapidement l'écrivain de la Compagnie des Quinze et inaugure le théâtre du Vieux Colombier avec Noé (1931), puis Le viol de Lucrèce, La Bataille de la Marne et puis Loire. Sa notoriété aidant, ses pièces sont jouées aussi bien en France qu'à l'étranger (Angleterre, Etats-Unis, Allemagne...). Président des auteurs, compositeurs résistants pendant l'Occupation, il succède à Pierre Dux comme administrateur de la Comédie Française à la demande de René Capitant, alors ministre de la Culture, le 2 octobre 1945. La Libération le voit également travailler aux premières réformes du Conservatoire et au nouveau statut des comédiens en tant que Directeur du Théâtre et de la Musique. Il adaptera plusieurs pièces dont L'Orestie pour Jean-Louis Barrault et deux pièces américaines : La chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams et Douze hommes en colère de Reginald Rose. Il participe à Lecture à une voix de Michel Polac. On se souviendra, sur France Culture, de ses entretiens avec Henri Dutilleux : Entre cour et jardin. En 1972, il crée encore pour la Comédie Française Les retrouvailles sous le titre Le jour du retour, ainsi que trois pièces en un acte. Sa vie s'achève à Montsoreau, en 1975 sur les bords de son fleuve bien aimé, la Loire auprès de laquelle il vécut trente ans.
Anclré Obey est né à Douai en 1892. Après une enfance passée entre le collège et l'école de musique, il se fait remarquer en 1924 en écrivant La très souriante Madame Beudet avec Denys Amiel. Il obtient en 1928 le prix Renaudot pour un de ses romans : Le joueur de triangle. C'est Jacques Copeau qui lui fait découvrir le théâtre. Il devient rapidement l'écrivain de la Compagnie des Quinze et inaugure le théâtre du Vieux Colombier avec Noé (1931), puis Le viol de Lucrèce, La Bataille de la Marne et puis Loire. Sa notoriété aidant, ses pièces sont jouées aussi bien en France qu'à l'étranger (Angleterre, Etats-Unis, Allemagne...). Président des auteurs, compositeurs résistants pendant l'Occupation, il succède à Pierre Dux comme administrateur de la Comédie Française à la demande de René Capitant, alors ministre de la Culture, le 2 octobre 1945. La Libération le voit également travailler aux premières réformes du Conservatoire et au nouveau statut des comédiens en tant que Directeur du Théâtre et de la Musique. Il adaptera plusieurs pièces dont L'Orestie pour Jean-Louis Barrault et deux pièces américaines : La chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams et Douze hommes en colère de Reginald Rose. Il participe à Lecture à une voix de Michel Polac. On se souviendra, sur France Culture, de ses entretiens avec Henri Dutilleux : Entre cour et jardin. En 1972, il crée encore pour la Comédie Française Les retrouvailles sous le titre Le jour du retour, ainsi que trois pièces en un acte. Sa vie s'achève à Montsoreau, en 1975 sur les bords de son fleuve bien aimé, la Loire auprès de laquelle il vécut trente ans.