Un soldat de l'ombre. Chroniques souriantes des années grises 1939 - 1945
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- Nombre de pages253
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.42 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-84478-605-0
- EAN9782844786050
- Date de parution15/10/2007
- CollectionGens d'ici
- ÉditeurCheminements/L'A part Editions
Résumé
Un soldat de l'ombre raconte les aventures et mésaventures du père de l'auteur ainsi que la vie de sa famille, qui vivait alors à Douarnenez, pendant la guerre. Il a fait partie de la Résistance, a joué double jeu, est passé à travers les mailles de la Gestapo et s'est fait arrêter par la police française à la libération comme collaborateur. Un comble ! L'Occupation est vue à travers les yeux d'enfant de l'auteur qui ne pouvait pas tout comprendre.
Un prisme déformant qui ne montrait que la partie amusante des événements qui se déroulaient devant lui ; l'insouciance de la jeunesse, alors que des adultes risquaient leur vie, à commencer par son père. Plus qu'un récit structuré, il s'agit de petites anecdotes prises au jour le jour. A travers ces souvenirs, c'est une autre façon de vivre qui renaît. L'insouciance des années trente a laissé la place à l'inquiétude du lendemain vers la fin de la décennie.
Et pour ceux qui ne voulaient pas accepter la défaite, c'était l'angoisse des petits matins où la Gestapo frappait à la porte.
Un prisme déformant qui ne montrait que la partie amusante des événements qui se déroulaient devant lui ; l'insouciance de la jeunesse, alors que des adultes risquaient leur vie, à commencer par son père. Plus qu'un récit structuré, il s'agit de petites anecdotes prises au jour le jour. A travers ces souvenirs, c'est une autre façon de vivre qui renaît. L'insouciance des années trente a laissé la place à l'inquiétude du lendemain vers la fin de la décennie.
Et pour ceux qui ne voulaient pas accepter la défaite, c'était l'angoisse des petits matins où la Gestapo frappait à la porte.
Un soldat de l'ombre raconte les aventures et mésaventures du père de l'auteur ainsi que la vie de sa famille, qui vivait alors à Douarnenez, pendant la guerre. Il a fait partie de la Résistance, a joué double jeu, est passé à travers les mailles de la Gestapo et s'est fait arrêter par la police française à la libération comme collaborateur. Un comble ! L'Occupation est vue à travers les yeux d'enfant de l'auteur qui ne pouvait pas tout comprendre.
Un prisme déformant qui ne montrait que la partie amusante des événements qui se déroulaient devant lui ; l'insouciance de la jeunesse, alors que des adultes risquaient leur vie, à commencer par son père. Plus qu'un récit structuré, il s'agit de petites anecdotes prises au jour le jour. A travers ces souvenirs, c'est une autre façon de vivre qui renaît. L'insouciance des années trente a laissé la place à l'inquiétude du lendemain vers la fin de la décennie.
Et pour ceux qui ne voulaient pas accepter la défaite, c'était l'angoisse des petits matins où la Gestapo frappait à la porte.
Un prisme déformant qui ne montrait que la partie amusante des événements qui se déroulaient devant lui ; l'insouciance de la jeunesse, alors que des adultes risquaient leur vie, à commencer par son père. Plus qu'un récit structuré, il s'agit de petites anecdotes prises au jour le jour. A travers ces souvenirs, c'est une autre façon de vivre qui renaît. L'insouciance des années trente a laissé la place à l'inquiétude du lendemain vers la fin de la décennie.
Et pour ceux qui ne voulaient pas accepter la défaite, c'était l'angoisse des petits matins où la Gestapo frappait à la porte.
