Un Juif s'explique sur l'Evangile. La Lettre de Paul aux Romains

Par : Paul Bony

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 29 juillet et le 31 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages444
  • PrésentationBroché
  • Poids0.537 kg
  • Dimensions14,8 cm × 23,8 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-220-06482-6
  • EAN9782220064826
  • Date de parution04/10/2012
  • CollectionChemins de dialogue
  • ÉditeurDDB
  • PréfacierJean-Marc Aveline

Résumé

Dans l'épître aux Romains, un certain Juif, Paul de Tarse, devenu apôtre du Christ sans avoir conscience d'avoir perdu son appartenance au peuple juif, s'explique sur l'Evangile qu'il considère non pas comme une déviance, mais comme l'accomplissement de la foi d'Israël. Cela peut légitimement surprendre, décontenancer, voire choquer les Juifs de jadis et d'aujourd'hui, mais cela mérite d'être entendu au moins comme une interprétation possible...
Paul Bony prend cette lecture au sérieux. Au moment où l'épître est écrite, il n'y a pas encore de rupture entre juifs et chrétiens (le terme "chrétiens" n'est jamais utilisé par Paul, mais celui de "croyants"). La mouvance judéo-chrétienne peut encore passer pour l'un des divers mouvements du judaïsme d'alors, plus divers que nous l'imaginions récemment encore, y compris parmi le courant pharisien lui-même.
Et si à sa manière Paul nous indiquait une perspective originale pour penser aussi le dialogue interreligieux ? Paul Bony a exercé longuement un ministère d'initiation à l'exégèse biblique, dans les séminaires, puis à l'Institut de théologie et de sciences des religions à Marseille.
Dans l'épître aux Romains, un certain Juif, Paul de Tarse, devenu apôtre du Christ sans avoir conscience d'avoir perdu son appartenance au peuple juif, s'explique sur l'Evangile qu'il considère non pas comme une déviance, mais comme l'accomplissement de la foi d'Israël. Cela peut légitimement surprendre, décontenancer, voire choquer les Juifs de jadis et d'aujourd'hui, mais cela mérite d'être entendu au moins comme une interprétation possible...
Paul Bony prend cette lecture au sérieux. Au moment où l'épître est écrite, il n'y a pas encore de rupture entre juifs et chrétiens (le terme "chrétiens" n'est jamais utilisé par Paul, mais celui de "croyants"). La mouvance judéo-chrétienne peut encore passer pour l'un des divers mouvements du judaïsme d'alors, plus divers que nous l'imaginions récemment encore, y compris parmi le courant pharisien lui-même.
Et si à sa manière Paul nous indiquait une perspective originale pour penser aussi le dialogue interreligieux ? Paul Bony a exercé longuement un ministère d'initiation à l'exégèse biblique, dans les séminaires, puis à l'Institut de théologie et de sciences des religions à Marseille.