Tueries. Forcenés et suicidaires à l'ère du capitalisme absolu

Par : Franco Berardi

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  • Nombre de pages223
  • PrésentationBroché
  • Poids0.336 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,6 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-89596-212-0
  • EAN9782895962120
  • Date de parution22/01/2016
  • CollectionFutur proche
  • ÉditeurLux Editeur
  • PréfacierYves Citton
  • TraducteurPaulin Dardel

Résumé

Le terrorisme suicidaire frappe aujourd’hui aussi bien à Columbine ou Utoya, que dans les rues de Paris. Sa violence multiforme surgit de partout et repousse chaque fois les frontières de l’horreur. Soutenir que les assassins sont des forcenés ou encore des soldats fous d’une armée ennemie ne suffit plus à comprendre un phénomène aussi effarant. Franco «Bifo» Beradi s’intéresse ici à la psychopathologie, mais aussi aux origines économiques et politiques de ces meurtres de masse de plus en plus fréquents.
Il démêle minutieusement l’enchevêtrement de désespoir, de ressentiment, de nihilisme, d’affirmation identitaire et de quête de célébrité qui pousse ces hommes à faucher la vie des autres avant de mettre fin à la leur. En ressort cet examen d’un corps social déchiqueté par le pouvoir absolu du capitalisme, pouvoir qui nous confinent à une impasse, entre dépression et violence. Un état des lieux dont il faut prendre acte pour pouvoir à nouveau poser la question «que faire ?» et chercher, dans la noirceur, d’éventuelles lignes de fuite.
Le terrorisme suicidaire frappe aujourd’hui aussi bien à Columbine ou Utoya, que dans les rues de Paris. Sa violence multiforme surgit de partout et repousse chaque fois les frontières de l’horreur. Soutenir que les assassins sont des forcenés ou encore des soldats fous d’une armée ennemie ne suffit plus à comprendre un phénomène aussi effarant. Franco «Bifo» Beradi s’intéresse ici à la psychopathologie, mais aussi aux origines économiques et politiques de ces meurtres de masse de plus en plus fréquents.
Il démêle minutieusement l’enchevêtrement de désespoir, de ressentiment, de nihilisme, d’affirmation identitaire et de quête de célébrité qui pousse ces hommes à faucher la vie des autres avant de mettre fin à la leur. En ressort cet examen d’un corps social déchiqueté par le pouvoir absolu du capitalisme, pouvoir qui nous confinent à une impasse, entre dépression et violence. Un état des lieux dont il faut prendre acte pour pouvoir à nouveau poser la question «que faire ?» et chercher, dans la noirceur, d’éventuelles lignes de fuite.