Topor, artiste multimédia

Par : Alexandre Devaux
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages244
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.522 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN979-10-351-0033-9
  • EAN9791035100339
  • Date de parution30/11/2017
  • ÉditeurEditions de la Sorbonne

Résumé

Vingt ans après la disparition de Roland Topor (1938-1997), son uvre protéiforme et multimédia continue d'en faire un créateur inclassable croisant les pratiques de l'écriture, du dessin, du cinéma, du théâtre ou de la télévision, sans les hiérarchiser et en leur donnant l'apparence d'un grand jeu labyrinthique. Pourtant, l'imaginaire débridé de Topor a sa cohérence, faite d'humour noir et d'étrangeté ludique, qui sert de fil rouge à ses illustrations pour la presse française – de la revue Bizarre, où il débute, à Hara-Kiri dont il sera un compagnon de route – et l'édition internationale, à son travail d'affichiste, ses romans ou nouvelles, ses contributions au théâtre, au film d'animation ou aux séries télévisées.
En passant d'un support à l'autre, en expérimentant des genres et des techniques multiples, en visant des publics larges ou au contraire plus confidentiels, Topor s'est progressivement affranchi du dessin d'humour qui avait présidé à ses débuts, pour élaborer une uvre bien plus vaste, dont la noirceur, l'onirisme et l'anxiété sont traversés d'un éclat de rire permanent.
Vingt ans après la disparition de Roland Topor (1938-1997), son uvre protéiforme et multimédia continue d'en faire un créateur inclassable croisant les pratiques de l'écriture, du dessin, du cinéma, du théâtre ou de la télévision, sans les hiérarchiser et en leur donnant l'apparence d'un grand jeu labyrinthique. Pourtant, l'imaginaire débridé de Topor a sa cohérence, faite d'humour noir et d'étrangeté ludique, qui sert de fil rouge à ses illustrations pour la presse française – de la revue Bizarre, où il débute, à Hara-Kiri dont il sera un compagnon de route – et l'édition internationale, à son travail d'affichiste, ses romans ou nouvelles, ses contributions au théâtre, au film d'animation ou aux séries télévisées.
En passant d'un support à l'autre, en expérimentant des genres et des techniques multiples, en visant des publics larges ou au contraire plus confidentiels, Topor s'est progressivement affranchi du dessin d'humour qui avait présidé à ses débuts, pour élaborer une uvre bien plus vaste, dont la noirceur, l'onirisme et l'anxiété sont traversés d'un éclat de rire permanent.