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Théologie platonicienne de l'immortalité des âmes. Livres I-XVIII
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- Nombre de pages792
- PrésentationRelié
- Poids1.945 kg
- Dimensions17,0 cm × 25,0 cm × 6,2 cm
- ISBN978-2-251-34489-8
- EAN9782251344898
- Date de parution07/03/2007
- CollectionLes Classiques de l'humanisme
- ÉditeurBelles Lettres
- TraducteurRaymond Marcel
Résumé
Dépassant l'humanisme littéraire des générations passées, se défiant du "scientisme" naissant qui n'invoque ni Platon ni Aristote mais Archimède, Marsile Ficin (1433-1499) "ce sage citoyen" florentin, contemporain - faut-il le rappeler - de Nicolas de Cues, de Machiavel, de Léonard de Vinci, retourne aux "choses antiques" et élabore une sorte de religion naturelle qui ignore l'inquiétude du péché et se tend tout entière vers la recherche d'un salut, d'une sérénité.
L'oeuvre montre, comme nulle autre, quel idéal fut celui des hommes de la Renaissance, désireux de créer une religion naturelle qui fondrait en un tout unique la civilisation classique de la charité chrétienne, en vue d'une perfection toute rationnelle et mystique.
L'oeuvre montre, comme nulle autre, quel idéal fut celui des hommes de la Renaissance, désireux de créer une religion naturelle qui fondrait en un tout unique la civilisation classique de la charité chrétienne, en vue d'une perfection toute rationnelle et mystique.
Dépassant l'humanisme littéraire des générations passées, se défiant du "scientisme" naissant qui n'invoque ni Platon ni Aristote mais Archimède, Marsile Ficin (1433-1499) "ce sage citoyen" florentin, contemporain - faut-il le rappeler - de Nicolas de Cues, de Machiavel, de Léonard de Vinci, retourne aux "choses antiques" et élabore une sorte de religion naturelle qui ignore l'inquiétude du péché et se tend tout entière vers la recherche d'un salut, d'une sérénité.
L'oeuvre montre, comme nulle autre, quel idéal fut celui des hommes de la Renaissance, désireux de créer une religion naturelle qui fondrait en un tout unique la civilisation classique de la charité chrétienne, en vue d'une perfection toute rationnelle et mystique.
L'oeuvre montre, comme nulle autre, quel idéal fut celui des hommes de la Renaissance, désireux de créer une religion naturelle qui fondrait en un tout unique la civilisation classique de la charité chrétienne, en vue d'une perfection toute rationnelle et mystique.
