Terrorisme : les affres de la vengeance. Aux sources liminaires de la violence

Par : Myriam Benraad
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  • Nombre de pages222
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN979-10-318-0472-9
  • EAN9791031804729
  • Date de parution26/08/2021
  • CollectionMobilisations
  • ÉditeurCavalier Bleu (Editions Le)

Résumé

L'histoire du terrorisme, ancien comme contemporain, est empreinte de vengeances à l'origine de longs cycles de violence et de représailles. Loi du talion, prix du sang, humiliations, terrorisme d'Etat... la vengeance est partout présente, aussi bien dans les motivations des terroristes en justification de leurs actes que dans les réactions que leur violence engendre parmi leurs cibles. Pourtant, en tant qu'objet d'analyse, elle reste l'angle mort des études sur le terrorisme.
"Radicalisation de l'islam" , "islamisation de la radicalité" , "nihilisme générationnel" , contextes géopolitiques, ressentiments historiques... la vengeance reste en filigrane, comme si la mettre en exergue ou la reconnaître aux terroristes comme ils s'en réclament, serait induire l'idée qu'une injustice a été perpétrée. Or, elle est la question centrale qu'il est essentiel d'analyser.
L'histoire du terrorisme, ancien comme contemporain, est empreinte de vengeances à l'origine de longs cycles de violence et de représailles. Loi du talion, prix du sang, humiliations, terrorisme d'Etat... la vengeance est partout présente, aussi bien dans les motivations des terroristes en justification de leurs actes que dans les réactions que leur violence engendre parmi leurs cibles. Pourtant, en tant qu'objet d'analyse, elle reste l'angle mort des études sur le terrorisme.
"Radicalisation de l'islam" , "islamisation de la radicalité" , "nihilisme générationnel" , contextes géopolitiques, ressentiments historiques... la vengeance reste en filigrane, comme si la mettre en exergue ou la reconnaître aux terroristes comme ils s'en réclament, serait induire l'idée qu'une injustice a été perpétrée. Or, elle est la question centrale qu'il est essentiel d'analyser.