Sudalisme. L'imaginaire qui nourrit le racisme
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 12 août et le 19 aoûtCet article sera commandé chez un fournisseur et sera expédié 6 à 12 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 12 août et le 19 août
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages480
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.41 kg
- Dimensions20,0 cm × 13,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-490403-47-9
- EAN9782490403479
- Date de parution10/02/2023
- CollectionCritique de la civilisation
- ÉditeurEditions Libre
Résumé
Ce livre d'anthropologie s'appuie sur une longue expérience des milieux francophones de l'alphabétisation des migrants. Son objet n'est pourtant en rien le processus d'alphabétisation ou d'enseignement de la langue française à des migrants, mais bien la rencontre des imaginaires des deux groupes d'interlocuteurs principaux rencontrés par J. Piolat : les enseignants, majoritairement euro-descendants, et les migrants de première génération, en majorité musulmans.
Au fil de sa recherche, Piolat constate que, si des relations amicales se nouent souvent entre les enseignants euro-descendants et le public migrant, certains discours et postures associatifs, relatifs aux migrants extra-occidentaux, se révèlent souvent disqualifiants, réducteurs, infantilisants, énonçant les univers de référence de ces derniers comme sexistes, intellectuellement assez vides, superstitieux et religieusement rigoristes.
Dans ces discours associatifs, en phase avec ce que l'on entend dans les médias, l'islam...
Au fil de sa recherche, Piolat constate que, si des relations amicales se nouent souvent entre les enseignants euro-descendants et le public migrant, certains discours et postures associatifs, relatifs aux migrants extra-occidentaux, se révèlent souvent disqualifiants, réducteurs, infantilisants, énonçant les univers de référence de ces derniers comme sexistes, intellectuellement assez vides, superstitieux et religieusement rigoristes.
Dans ces discours associatifs, en phase avec ce que l'on entend dans les médias, l'islam...
Ce livre d'anthropologie s'appuie sur une longue expérience des milieux francophones de l'alphabétisation des migrants. Son objet n'est pourtant en rien le processus d'alphabétisation ou d'enseignement de la langue française à des migrants, mais bien la rencontre des imaginaires des deux groupes d'interlocuteurs principaux rencontrés par J. Piolat : les enseignants, majoritairement euro-descendants, et les migrants de première génération, en majorité musulmans.
Au fil de sa recherche, Piolat constate que, si des relations amicales se nouent souvent entre les enseignants euro-descendants et le public migrant, certains discours et postures associatifs, relatifs aux migrants extra-occidentaux, se révèlent souvent disqualifiants, réducteurs, infantilisants, énonçant les univers de référence de ces derniers comme sexistes, intellectuellement assez vides, superstitieux et religieusement rigoristes.
Dans ces discours associatifs, en phase avec ce que l'on entend dans les médias, l'islam...
Au fil de sa recherche, Piolat constate que, si des relations amicales se nouent souvent entre les enseignants euro-descendants et le public migrant, certains discours et postures associatifs, relatifs aux migrants extra-occidentaux, se révèlent souvent disqualifiants, réducteurs, infantilisants, énonçant les univers de référence de ces derniers comme sexistes, intellectuellement assez vides, superstitieux et religieusement rigoristes.
Dans ces discours associatifs, en phase avec ce que l'on entend dans les médias, l'islam...