L'auteur fait gicler la violence omniprésente à toutes les étapes de chaîne d'abatage, pour les ouvriers et pour les bêtes.
Il ne s'agit pas d'un traité veggie, d'une dénonciation des "bouffeur de tournedos", mais plutôt d'une alerte sur la souffrance humaine dans ces lieux de mort.
La souffrance animale ne s'annule pas, ne se soustrait pas de la souffrance des hommes.
Très bonne observation participante.
Pour faire un bon Tournedos Rossini, un bon gros bœuf (pour le filet), un manard (pour la découpe de la pièce dudit filet), une connexion internet pour la recette, du vin, et c'est ok.
L'auteur fait gicler la violence omniprésente à toutes les étapes de chaîne d'abatage, pour les ouvriers et pour les bêtes.
Il ne s'agit pas d'un traité veggie, d'une dénonciation des "bouffeur de tournedos", mais plutôt d'une alerte sur la souffrance humaine dans ces lieux de mort.
La souffrance animale ne s'annule pas, ne se soustrait pas de la souffrance des hommes.
Très bonne observation participante.
Pour faire un bon Tournedos Rossini, un bon gros bœuf (pour le filet), un manard (pour la découpe de la pièce dudit filet), une connexion internet pour la recette, du vin, et c'est ok.