Sources. Tome 2
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- Nombre de pages358
- PrésentationBroché
- Poids0.355 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,6 cm × 2,5 cm
- ISBN2-07-074471-X
- EAN9782070744718
- Date de parution22/01/1999
- CollectionLes cahiers de la NRF
- ÉditeurGallimard
Résumé
Sources II n'est pas " un livre " au sens commun du terme. Des notes de lecture sur des textes les plus divers, au cœur desquels se greffe le commentaire personnel, voisinent avec les fragments d'une activité diaristique que l'auteur de Mémoires d'Hadrien s'est souvent défendu de pratiquer. Ces " journaux de bord " inédits permettent de se glisser dans l'intimité de son écriture, laissant entrevoir les coulisses, le laboratoire, le réservoir de l'œuvre en train de se faire.
Deuxième volet d'un " gros carnet intitulé Sources, contenant des réflexions détachées déjà anciennes, et un assez long fragment de journal contemporain des années 1931-1938, à peu près ", dont Yourcenar avoue l'existence dans une lettre à son éditeur en 1979, Sources II conserve toutes les ambiguïtés, les paradoxes, voire les mystères d'un " texte écrit sans aucune intention de publication ", mais qui " (pour une publication seulement posthume) pourrait avoir un certain intérêt biographique et psychologique ".
Déplacements permanents entre les couches multiples des temps de la vie quotidienne et de l'écriture, les textes juxtaposés dans le classeur intitulé Sources II constituent une lumineuse explication de la méthode de création yourcenarienne, " un pied dans l'érudition, un pied dans la magie ". Mais c'est aussi, au travers de premiers jets de listes, de repentirs, de confidences faisant fi des contraintes de l'imprimé, l'image de la lectrice insatiable, de la femme au travail, qui se profile sous les masques un instant ôtés de l'écrivain.
Deuxième volet d'un " gros carnet intitulé Sources, contenant des réflexions détachées déjà anciennes, et un assez long fragment de journal contemporain des années 1931-1938, à peu près ", dont Yourcenar avoue l'existence dans une lettre à son éditeur en 1979, Sources II conserve toutes les ambiguïtés, les paradoxes, voire les mystères d'un " texte écrit sans aucune intention de publication ", mais qui " (pour une publication seulement posthume) pourrait avoir un certain intérêt biographique et psychologique ".
Déplacements permanents entre les couches multiples des temps de la vie quotidienne et de l'écriture, les textes juxtaposés dans le classeur intitulé Sources II constituent une lumineuse explication de la méthode de création yourcenarienne, " un pied dans l'érudition, un pied dans la magie ". Mais c'est aussi, au travers de premiers jets de listes, de repentirs, de confidences faisant fi des contraintes de l'imprimé, l'image de la lectrice insatiable, de la femme au travail, qui se profile sous les masques un instant ôtés de l'écrivain.
Sources II n'est pas " un livre " au sens commun du terme. Des notes de lecture sur des textes les plus divers, au cœur desquels se greffe le commentaire personnel, voisinent avec les fragments d'une activité diaristique que l'auteur de Mémoires d'Hadrien s'est souvent défendu de pratiquer. Ces " journaux de bord " inédits permettent de se glisser dans l'intimité de son écriture, laissant entrevoir les coulisses, le laboratoire, le réservoir de l'œuvre en train de se faire.
Deuxième volet d'un " gros carnet intitulé Sources, contenant des réflexions détachées déjà anciennes, et un assez long fragment de journal contemporain des années 1931-1938, à peu près ", dont Yourcenar avoue l'existence dans une lettre à son éditeur en 1979, Sources II conserve toutes les ambiguïtés, les paradoxes, voire les mystères d'un " texte écrit sans aucune intention de publication ", mais qui " (pour une publication seulement posthume) pourrait avoir un certain intérêt biographique et psychologique ".
Déplacements permanents entre les couches multiples des temps de la vie quotidienne et de l'écriture, les textes juxtaposés dans le classeur intitulé Sources II constituent une lumineuse explication de la méthode de création yourcenarienne, " un pied dans l'érudition, un pied dans la magie ". Mais c'est aussi, au travers de premiers jets de listes, de repentirs, de confidences faisant fi des contraintes de l'imprimé, l'image de la lectrice insatiable, de la femme au travail, qui se profile sous les masques un instant ôtés de l'écrivain.
Deuxième volet d'un " gros carnet intitulé Sources, contenant des réflexions détachées déjà anciennes, et un assez long fragment de journal contemporain des années 1931-1938, à peu près ", dont Yourcenar avoue l'existence dans une lettre à son éditeur en 1979, Sources II conserve toutes les ambiguïtés, les paradoxes, voire les mystères d'un " texte écrit sans aucune intention de publication ", mais qui " (pour une publication seulement posthume) pourrait avoir un certain intérêt biographique et psychologique ".
Déplacements permanents entre les couches multiples des temps de la vie quotidienne et de l'écriture, les textes juxtaposés dans le classeur intitulé Sources II constituent une lumineuse explication de la méthode de création yourcenarienne, " un pied dans l'érudition, un pied dans la magie ". Mais c'est aussi, au travers de premiers jets de listes, de repentirs, de confidences faisant fi des contraintes de l'imprimé, l'image de la lectrice insatiable, de la femme au travail, qui se profile sous les masques un instant ôtés de l'écrivain.