Sea Power ? De Grasse et Vaudreuil 1781-1783. Durer en opérations

Par : Olivier Chaline, Jean-Marie Kowalski, Pierre Le Bot
Précommande en ligne
Votre colis est préparé et expédié le jour de la sortie de cet article, hors dimanches et jours fériés, dans la limite des stocks disponibles.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay dès le 24 juin
      Votre colis est préparé et expédié le jour de la sortie de cet article, hors dimanches et jours fériés, dans la limite des stocks disponibles.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages450
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN979-10-231-0789-0
  • EAN9791023107890
  • Date de parution06/03/2025
  • CollectionHistoire maritime
  • ÉditeurPU Paris-Sorbonne

Résumé

histoire maritime Sea Power : deux mots magiques dans la bouche des historiens et stratèges navals. Mais quelle réalité au temps de la marine à voile ? Revenons au réel fait de vagues et de vents, de jours et de nuits qui usent les vaisseaux et les hommes. On ne déploie pas impunément à la mer une force navale, surtout si celle-ci est importante et que la campagne dure longtemps. Point n'est besoin des combats pour infliger des avaries aux navires et éprouver les hommes.
Les flots et le vent suffisent... Au temps de la voile, l'armée navale française commandée en 1781-1783 par le comte de Grasse puis le marquis de Vaudreuil offre un cas d'école. Louis XVI et ses ministres ont envoyé un gros tiers des vaisseaux français de l'autre côté de l'Atlantique pour arracher la victoire sur l'Angleterre, ce qui fut le cas à la Chesapeake et à Yorktown, mais ils ont aussi porté l'outil naval presque jusqu'à son point de rupture.
Trop loin, trop fort, trop longtemps ? Sorbonne Université et l'Ecole Navale ont travaillé ensemble pour répondre à cette question toujours d'actualité : comment durer en opérations loin de ses bases sans perdre tout ou partie de son potentiel opérationnel ? L'océan ne se moque-t-il pas de nos prétentions ?
histoire maritime Sea Power : deux mots magiques dans la bouche des historiens et stratèges navals. Mais quelle réalité au temps de la marine à voile ? Revenons au réel fait de vagues et de vents, de jours et de nuits qui usent les vaisseaux et les hommes. On ne déploie pas impunément à la mer une force navale, surtout si celle-ci est importante et que la campagne dure longtemps. Point n'est besoin des combats pour infliger des avaries aux navires et éprouver les hommes.
Les flots et le vent suffisent... Au temps de la voile, l'armée navale française commandée en 1781-1783 par le comte de Grasse puis le marquis de Vaudreuil offre un cas d'école. Louis XVI et ses ministres ont envoyé un gros tiers des vaisseaux français de l'autre côté de l'Atlantique pour arracher la victoire sur l'Angleterre, ce qui fut le cas à la Chesapeake et à Yorktown, mais ils ont aussi porté l'outil naval presque jusqu'à son point de rupture.
Trop loin, trop fort, trop longtemps ? Sorbonne Université et l'Ecole Navale ont travaillé ensemble pour répondre à cette question toujours d'actualité : comment durer en opérations loin de ses bases sans perdre tout ou partie de son potentiel opérationnel ? L'océan ne se moque-t-il pas de nos prétentions ?
La Bataille
Jean Baechler, Olivier Chaline
E-book
25,99 €