(Se) former pour transformer le travail. Dynamiques de constructions dune analyse critique du travail
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- Nombre de pages764
- PrésentationBroché
- Poids1.01 kg
- Dimensions15,3 cm × 22,8 cm × 3,6 cm
- ISBN978-2-7637-1641-1
- EAN9782763716411
- Date de parution12/09/2013
- CollectionSanté et sécurité du travail
- ÉditeurPresses Université Laval
- PréfacierSylvie Montreuil
- PréfacierLaurent Vogel
Résumé
Les questions de santé au travail posent de manière aiguë la question de la mobilisation des savoirs des collectifs de travail. Quel que soit le problème que l’on cherche à résoudre, et quelle que soit la période de l’histoire que l’on interroge, l’on ne peut qu’être frappé par le retard souvent tragique entre ce que les connaissances techniques et scientifiques permettraient de faire et l’état réel de la prévention dans les entreprises.
Les pratiques de santé au travail peuvent être dès lors appréhendées comme l’enjeu d’un partage des savoirs dans des conditions qui remettent en cause l’habituelle division du travail entre des concepteurs et des exécutants. A ce titre, la formation revêt une importance essentielle. Elle est une activité bidirectionnelle où les rôles de "formateurs" et de "formés" sont loin d’être immuables et réservent bien souvent des surprises.
Les éducateurs ont probablement autant à apprendre que les travailleurs qui sont formés. La formation devient aussi un outil de validation des connaissances et un exercice de démocratie qui renverse les représentations habituelles du travail. L’intérêt de ce recueil est de parcourir une période passionnante qui s’ouvre au cours du dernier tiers du XXe siècle mais dont les premiers ferments apparaissent aux lendemains de la deuxième guerre mondiale.
Les contributions montrent la richesse de ces expériences que ce soit en France, en Italie, en Belgique, au Québec ou en Amérique latine. Elles illustrent le potentiel d’une alliance entre les organisations syndicales et des équipes de recherche.
Les pratiques de santé au travail peuvent être dès lors appréhendées comme l’enjeu d’un partage des savoirs dans des conditions qui remettent en cause l’habituelle division du travail entre des concepteurs et des exécutants. A ce titre, la formation revêt une importance essentielle. Elle est une activité bidirectionnelle où les rôles de "formateurs" et de "formés" sont loin d’être immuables et réservent bien souvent des surprises.
Les éducateurs ont probablement autant à apprendre que les travailleurs qui sont formés. La formation devient aussi un outil de validation des connaissances et un exercice de démocratie qui renverse les représentations habituelles du travail. L’intérêt de ce recueil est de parcourir une période passionnante qui s’ouvre au cours du dernier tiers du XXe siècle mais dont les premiers ferments apparaissent aux lendemains de la deuxième guerre mondiale.
Les contributions montrent la richesse de ces expériences que ce soit en France, en Italie, en Belgique, au Québec ou en Amérique latine. Elles illustrent le potentiel d’une alliance entre les organisations syndicales et des équipes de recherche.
Les questions de santé au travail posent de manière aiguë la question de la mobilisation des savoirs des collectifs de travail. Quel que soit le problème que l’on cherche à résoudre, et quelle que soit la période de l’histoire que l’on interroge, l’on ne peut qu’être frappé par le retard souvent tragique entre ce que les connaissances techniques et scientifiques permettraient de faire et l’état réel de la prévention dans les entreprises.
Les pratiques de santé au travail peuvent être dès lors appréhendées comme l’enjeu d’un partage des savoirs dans des conditions qui remettent en cause l’habituelle division du travail entre des concepteurs et des exécutants. A ce titre, la formation revêt une importance essentielle. Elle est une activité bidirectionnelle où les rôles de "formateurs" et de "formés" sont loin d’être immuables et réservent bien souvent des surprises.
Les éducateurs ont probablement autant à apprendre que les travailleurs qui sont formés. La formation devient aussi un outil de validation des connaissances et un exercice de démocratie qui renverse les représentations habituelles du travail. L’intérêt de ce recueil est de parcourir une période passionnante qui s’ouvre au cours du dernier tiers du XXe siècle mais dont les premiers ferments apparaissent aux lendemains de la deuxième guerre mondiale.
Les contributions montrent la richesse de ces expériences que ce soit en France, en Italie, en Belgique, au Québec ou en Amérique latine. Elles illustrent le potentiel d’une alliance entre les organisations syndicales et des équipes de recherche.
Les pratiques de santé au travail peuvent être dès lors appréhendées comme l’enjeu d’un partage des savoirs dans des conditions qui remettent en cause l’habituelle division du travail entre des concepteurs et des exécutants. A ce titre, la formation revêt une importance essentielle. Elle est une activité bidirectionnelle où les rôles de "formateurs" et de "formés" sont loin d’être immuables et réservent bien souvent des surprises.
Les éducateurs ont probablement autant à apprendre que les travailleurs qui sont formés. La formation devient aussi un outil de validation des connaissances et un exercice de démocratie qui renverse les représentations habituelles du travail. L’intérêt de ce recueil est de parcourir une période passionnante qui s’ouvre au cours du dernier tiers du XXe siècle mais dont les premiers ferments apparaissent aux lendemains de la deuxième guerre mondiale.
Les contributions montrent la richesse de ces expériences que ce soit en France, en Italie, en Belgique, au Québec ou en Amérique latine. Elles illustrent le potentiel d’une alliance entre les organisations syndicales et des équipes de recherche.
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