Saut de Puces à Saint-Ouen
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- Nombre de pages173
- PrésentationBroché
- Poids0.3 kg
- Dimensions12,4 cm × 18,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-903824-82-2
- EAN9782903824822
- Date de parution05/12/2012
- ÉditeurMonelle Hayot
- PréfacierPhilippe Starck
Résumé
On va aux Puces comme on se rend vers un lieu extraordinaire, avec l'espoir de découvrir un meuble introuvable - et à bon compte - ou un objet insolite jamais encore vu. C'est entre 1880 et 1890 que les Puces ont investi, au delà des terrains des fortifs, les trottoirs de Saint-Ouen. Elles ont pris naissance avant d'avoir trouvé leur propre nom "le Marché aux Puces", - the Flea market - aussitôt adopté dans le monde entier.
Après son Manifeste du surréalisme, André Breton écrivait dans "NADJA" en 1928 : "Je m'étais rendu au Marché aux Puces de Saint-Ouen en quête de ces objets qu'on ne trouve nulle part ailleurs, démodés, fragments inutilisables presque incompréhensibles, pervers enfin au sens où je l'entends et où je l'aime". Les Puces qui ont fêté leur centenaire en 1985 n'ont pas fini de sauter de siècle en siècle avec des marchands et chineurs toujours plus nombreux.
Lorsque les derniers vestiges des fortifications ont enfin disparu, les pionniers des déballages en plein vent se sont peu à peu organisés en véritables marchés "en dur " le long de la rue des Rosiers. C'est donc à Saint-Ouen que les puciers récupérateurs ont enfin trouvé leur terre promise. Et les Puces sont bien devenues le plus grand marché permanent du monde de l'occasion. En 2001, le site des Puces dans son ensemble a été classé, comme un monument historique, en "zone de protection du patrimoine architectural, urbain, et paysager".
Cette reconnaissance rendue aux professionnels de la récupération, devenus brocanteurs et antiquaires patentés est une garantie pour l'avenir, en dépit des crises économiques qui finissent toujours par être surmontées.
Après son Manifeste du surréalisme, André Breton écrivait dans "NADJA" en 1928 : "Je m'étais rendu au Marché aux Puces de Saint-Ouen en quête de ces objets qu'on ne trouve nulle part ailleurs, démodés, fragments inutilisables presque incompréhensibles, pervers enfin au sens où je l'entends et où je l'aime". Les Puces qui ont fêté leur centenaire en 1985 n'ont pas fini de sauter de siècle en siècle avec des marchands et chineurs toujours plus nombreux.
Lorsque les derniers vestiges des fortifications ont enfin disparu, les pionniers des déballages en plein vent se sont peu à peu organisés en véritables marchés "en dur " le long de la rue des Rosiers. C'est donc à Saint-Ouen que les puciers récupérateurs ont enfin trouvé leur terre promise. Et les Puces sont bien devenues le plus grand marché permanent du monde de l'occasion. En 2001, le site des Puces dans son ensemble a été classé, comme un monument historique, en "zone de protection du patrimoine architectural, urbain, et paysager".
Cette reconnaissance rendue aux professionnels de la récupération, devenus brocanteurs et antiquaires patentés est une garantie pour l'avenir, en dépit des crises économiques qui finissent toujours par être surmontées.
On va aux Puces comme on se rend vers un lieu extraordinaire, avec l'espoir de découvrir un meuble introuvable - et à bon compte - ou un objet insolite jamais encore vu. C'est entre 1880 et 1890 que les Puces ont investi, au delà des terrains des fortifs, les trottoirs de Saint-Ouen. Elles ont pris naissance avant d'avoir trouvé leur propre nom "le Marché aux Puces", - the Flea market - aussitôt adopté dans le monde entier.
Après son Manifeste du surréalisme, André Breton écrivait dans "NADJA" en 1928 : "Je m'étais rendu au Marché aux Puces de Saint-Ouen en quête de ces objets qu'on ne trouve nulle part ailleurs, démodés, fragments inutilisables presque incompréhensibles, pervers enfin au sens où je l'entends et où je l'aime". Les Puces qui ont fêté leur centenaire en 1985 n'ont pas fini de sauter de siècle en siècle avec des marchands et chineurs toujours plus nombreux.
Lorsque les derniers vestiges des fortifications ont enfin disparu, les pionniers des déballages en plein vent se sont peu à peu organisés en véritables marchés "en dur " le long de la rue des Rosiers. C'est donc à Saint-Ouen que les puciers récupérateurs ont enfin trouvé leur terre promise. Et les Puces sont bien devenues le plus grand marché permanent du monde de l'occasion. En 2001, le site des Puces dans son ensemble a été classé, comme un monument historique, en "zone de protection du patrimoine architectural, urbain, et paysager".
Cette reconnaissance rendue aux professionnels de la récupération, devenus brocanteurs et antiquaires patentés est une garantie pour l'avenir, en dépit des crises économiques qui finissent toujours par être surmontées.
Après son Manifeste du surréalisme, André Breton écrivait dans "NADJA" en 1928 : "Je m'étais rendu au Marché aux Puces de Saint-Ouen en quête de ces objets qu'on ne trouve nulle part ailleurs, démodés, fragments inutilisables presque incompréhensibles, pervers enfin au sens où je l'entends et où je l'aime". Les Puces qui ont fêté leur centenaire en 1985 n'ont pas fini de sauter de siècle en siècle avec des marchands et chineurs toujours plus nombreux.
Lorsque les derniers vestiges des fortifications ont enfin disparu, les pionniers des déballages en plein vent se sont peu à peu organisés en véritables marchés "en dur " le long de la rue des Rosiers. C'est donc à Saint-Ouen que les puciers récupérateurs ont enfin trouvé leur terre promise. Et les Puces sont bien devenues le plus grand marché permanent du monde de l'occasion. En 2001, le site des Puces dans son ensemble a été classé, comme un monument historique, en "zone de protection du patrimoine architectural, urbain, et paysager".
Cette reconnaissance rendue aux professionnels de la récupération, devenus brocanteurs et antiquaires patentés est une garantie pour l'avenir, en dépit des crises économiques qui finissent toujours par être surmontées.