Santé et développement en Afrique subsaharienne. La maladie : approche historique, d'hier à aujourd'hui
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- Nombre de pages228
- PrésentationBroché
- Poids0.31 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-343-03882-7
- EAN9782343038827
- Date de parution01/07/2014
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierJean-Claude Djéréké
Résumé
L'opération historique consiste à interroger, à interpréter les certitudes des siècles passés. Donc à penser. Posons le problème : la maladie. Et l'hypothèse ? Le constat que la vie humaine, à travers le temps, reste un défi à la maladie. La mort lui est plus rattachée qu'à toute autre cause (accident de circulation, alcoolisme, etc.) De là, le nécessaire questionnement sur la nature même de ce phénomène : elle n'est ni surtout "nature", ni surtout "culture".
Elle est au niveau intermédiaire. Il en résulte fatalement une représentation plurielle de la maladie, avec un système de soins de santé corrélatif au niveau d'appréhension existant. Tel est le fondement de notre questionnement sur l'action médicale occidentale en Afrique subsaharienne. L'effort consenti par l'Occident n'est pas à nier, mais il ne s'ensuit pas que les résultats, sur le terrain, en soient plausibles, faute de coordination systématique entre les divers déterminants de la santé, ainsi que le présent volume tente de le montrer.
Pour redresser la pente, un arc-en-ciel de compétence est requis contre le "tout antibiothérapie". La médication doit être considérée non seulement dans ses liaisons avec la science, mais autant dans ses liaisons avec le culturel (croyances, organisation et fonctionnement des relations sociales).
Elle est au niveau intermédiaire. Il en résulte fatalement une représentation plurielle de la maladie, avec un système de soins de santé corrélatif au niveau d'appréhension existant. Tel est le fondement de notre questionnement sur l'action médicale occidentale en Afrique subsaharienne. L'effort consenti par l'Occident n'est pas à nier, mais il ne s'ensuit pas que les résultats, sur le terrain, en soient plausibles, faute de coordination systématique entre les divers déterminants de la santé, ainsi que le présent volume tente de le montrer.
Pour redresser la pente, un arc-en-ciel de compétence est requis contre le "tout antibiothérapie". La médication doit être considérée non seulement dans ses liaisons avec la science, mais autant dans ses liaisons avec le culturel (croyances, organisation et fonctionnement des relations sociales).
L'opération historique consiste à interroger, à interpréter les certitudes des siècles passés. Donc à penser. Posons le problème : la maladie. Et l'hypothèse ? Le constat que la vie humaine, à travers le temps, reste un défi à la maladie. La mort lui est plus rattachée qu'à toute autre cause (accident de circulation, alcoolisme, etc.) De là, le nécessaire questionnement sur la nature même de ce phénomène : elle n'est ni surtout "nature", ni surtout "culture".
Elle est au niveau intermédiaire. Il en résulte fatalement une représentation plurielle de la maladie, avec un système de soins de santé corrélatif au niveau d'appréhension existant. Tel est le fondement de notre questionnement sur l'action médicale occidentale en Afrique subsaharienne. L'effort consenti par l'Occident n'est pas à nier, mais il ne s'ensuit pas que les résultats, sur le terrain, en soient plausibles, faute de coordination systématique entre les divers déterminants de la santé, ainsi que le présent volume tente de le montrer.
Pour redresser la pente, un arc-en-ciel de compétence est requis contre le "tout antibiothérapie". La médication doit être considérée non seulement dans ses liaisons avec la science, mais autant dans ses liaisons avec le culturel (croyances, organisation et fonctionnement des relations sociales).
Elle est au niveau intermédiaire. Il en résulte fatalement une représentation plurielle de la maladie, avec un système de soins de santé corrélatif au niveau d'appréhension existant. Tel est le fondement de notre questionnement sur l'action médicale occidentale en Afrique subsaharienne. L'effort consenti par l'Occident n'est pas à nier, mais il ne s'ensuit pas que les résultats, sur le terrain, en soient plausibles, faute de coordination systématique entre les divers déterminants de la santé, ainsi que le présent volume tente de le montrer.
Pour redresser la pente, un arc-en-ciel de compétence est requis contre le "tout antibiothérapie". La médication doit être considérée non seulement dans ses liaisons avec la science, mais autant dans ses liaisons avec le culturel (croyances, organisation et fonctionnement des relations sociales).