Salons

Par : Denis Diderot
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  • Nombre de pages608
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-07-031385-3
  • EAN9782070313853
  • Date de parution10/04/2008
  • CollectionFolio. Classique
  • ÉditeurGallimard
  • Directeur de publicationMichel Delon

Résumé

De 1759 à 1781, Diderot le philosophe, l'homme de lettres, a joué au critique d'art en donnant neuf Salons pour une revue littéraire. Il s'agissait alors de proposer aux abonnés, absents de Paris, un équivalent littéraire des œuvres qu'ils ne verraient pas : le lecteur, aujourd'hui encore, appréciera ces textes sans avoir les tableaux ou les sculptures sous les yeux. Le Salon selon Diderot n'est pas seulement de la critique d'art : il contient des dialogues, des rêveries, des théories, de la philosophie.
Il oscille entre le roman et l'essai, entre le conte et la critique. Il ne s'agit pas de constituer une esthétique conceptuelle, mais d'arpenter l'espace d'une interrogation : chaque Salon est l'occasion d'un nouvel essai de réflexion, où le devoir d'abstraction philosophique ne fait jamais l'économie du foisonnement du réel. Peut-être Diderot ne sait-il pas expliquer un art qui soit totalement étranger à toute narration.
Peu importe : il sait en parler comme nul autre.
De 1759 à 1781, Diderot le philosophe, l'homme de lettres, a joué au critique d'art en donnant neuf Salons pour une revue littéraire. Il s'agissait alors de proposer aux abonnés, absents de Paris, un équivalent littéraire des œuvres qu'ils ne verraient pas : le lecteur, aujourd'hui encore, appréciera ces textes sans avoir les tableaux ou les sculptures sous les yeux. Le Salon selon Diderot n'est pas seulement de la critique d'art : il contient des dialogues, des rêveries, des théories, de la philosophie.
Il oscille entre le roman et l'essai, entre le conte et la critique. Il ne s'agit pas de constituer une esthétique conceptuelle, mais d'arpenter l'espace d'une interrogation : chaque Salon est l'occasion d'un nouvel essai de réflexion, où le devoir d'abstraction philosophique ne fait jamais l'économie du foisonnement du réel. Peut-être Diderot ne sait-il pas expliquer un art qui soit totalement étranger à toute narration.
Peu importe : il sait en parler comme nul autre.
Paradoxe sur le comédien
4/5
Denis Diderot
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