Rousseau et la politique des modernes. Douze études de Corneille à Kant
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- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-7116-3169-8
- EAN9782711631698
- Date de parution20/03/2025
- CollectionHistoire de la philosophie
- ÉditeurVrin
- EditeurBlaise Bachofen
- PostfacierBéatrice Longuenesse
Résumé
Les textes réunis ici, dont deux sont inédits, montrent l'apport majeur de Jean-Marie Beyssade à la connaissance de la pensée politique moderne. Lisant avec une intelligence lumineuse le Nicomède de Corneille, mettant au jour dans les Mémoires de Saint-Simon une paradoxale critique de la tyrannie, il élabore l'idéal d'une " politique de la générosité " et s'interroge sur l'origine et les fondements de la souveraineté.
D'où son intérêt pour Rousseau, dont il est un des plus pénétrant interprètes. Dans la réappropriation par le Genevois de la tradition du contrat social et ses analyses sur la guerre, mais aussi dans la réflexion de l'abbé de Saint-Pierre sur une citoyenneté universelle et dans celle de Kant sur la Révolution française, il cherche des réponses à une question qui est plus que jamais la nôtre : quelle politique pour les modernes ?
D'où son intérêt pour Rousseau, dont il est un des plus pénétrant interprètes. Dans la réappropriation par le Genevois de la tradition du contrat social et ses analyses sur la guerre, mais aussi dans la réflexion de l'abbé de Saint-Pierre sur une citoyenneté universelle et dans celle de Kant sur la Révolution française, il cherche des réponses à une question qui est plus que jamais la nôtre : quelle politique pour les modernes ?
Les textes réunis ici, dont deux sont inédits, montrent l'apport majeur de Jean-Marie Beyssade à la connaissance de la pensée politique moderne. Lisant avec une intelligence lumineuse le Nicomède de Corneille, mettant au jour dans les Mémoires de Saint-Simon une paradoxale critique de la tyrannie, il élabore l'idéal d'une " politique de la générosité " et s'interroge sur l'origine et les fondements de la souveraineté.
D'où son intérêt pour Rousseau, dont il est un des plus pénétrant interprètes. Dans la réappropriation par le Genevois de la tradition du contrat social et ses analyses sur la guerre, mais aussi dans la réflexion de l'abbé de Saint-Pierre sur une citoyenneté universelle et dans celle de Kant sur la Révolution française, il cherche des réponses à une question qui est plus que jamais la nôtre : quelle politique pour les modernes ?
D'où son intérêt pour Rousseau, dont il est un des plus pénétrant interprètes. Dans la réappropriation par le Genevois de la tradition du contrat social et ses analyses sur la guerre, mais aussi dans la réflexion de l'abbé de Saint-Pierre sur une citoyenneté universelle et dans celle de Kant sur la Révolution française, il cherche des réponses à une question qui est plus que jamais la nôtre : quelle politique pour les modernes ?