Roger Abignoly, l’ami fusillé (1923-1944). Un juif communiste dans la Résistance
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 22 juillet et le 25 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 22 juillet et le 25 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.239 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-336-47527-1
- EAN9782336475271
- Date de parution26/09/2024
- CollectionMémoires du XXe siècle
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Arrêté une première fois en février 1941 pour avoir distribué des tracts communistes dans l'enceinte du lycée Thiers à Marseille, Roger Abignoly, jeune juif marseillais, est incarcéré. En prison, il tient un journal, il écrit des lettres à sa soeur (ma grand-mère) et à ses proches. A travers ces lignes, se dessine le portrait d'un jeune homme en proie au doute qui s'interroge sans cesse sur le sens de son engagement politique. Tiraillé entre le désir de vivre sa jeunesse avec les amis qu'il aime et la volonté de défendre ses idées communistes, il hésite longtemps entre oisiveté et action. Durant l'été 1943, il se décide à rejoindre les maquis de la Loire et multiplie les actes de résistance. Arrêté pour avoir abattu un gendarme, il est fusillé en mars 1944 à Lyon. Cerner l'évolution de ce jeune étudiant juif que rien ne prédisposait à la lutte armée est l'une des ambitions de cet ouvrage.
Arrêté une première fois en février 1941 pour avoir distribué des tracts communistes dans l'enceinte du lycée Thiers à Marseille, Roger Abignoly, jeune juif marseillais, est incarcéré. En prison, il tient un journal, il écrit des lettres à sa soeur (ma grand-mère) et à ses proches. A travers ces lignes, se dessine le portrait d'un jeune homme en proie au doute qui s'interroge sans cesse sur le sens de son engagement politique. Tiraillé entre le désir de vivre sa jeunesse avec les amis qu'il aime et la volonté de défendre ses idées communistes, il hésite longtemps entre oisiveté et action. Durant l'été 1943, il se décide à rejoindre les maquis de la Loire et multiplie les actes de résistance. Arrêté pour avoir abattu un gendarme, il est fusillé en mars 1944 à Lyon. Cerner l'évolution de ce jeune étudiant juif que rien ne prédisposait à la lutte armée est l'une des ambitions de cet ouvrage.