Rob Mallet-Stevens 1907-1914

Par : Robert Mallet-Stevens
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  • Nombre de pages310
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.96 kg
  • Dimensions19,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-87143-323-1
  • EAN9782871433231
  • Date de parution09/01/2017
  • ÉditeurAam (editions)
  • PréfacierMaurice Culot

Résumé

Voici rassemblés pour la première fois tous les articles de Rob Mallet-Stevens écrits entre sa sortie de l'Ecole Spéciale d'Architecture à Paris en 1906 et le début de la guerre, fin juillet 1914. Le jeune architecte commence par écrire dans une revue anglaise, puis dans des publications belges, françaises et autrichiennes. Ses premiers articles sont des reportages sur des édifices parisiens et des comptes rendus des salons d'art.
Puis, il s'attache à l'architecture traditionnelle japonaise et à l'art théâtral et à son évolution jusqu'aux créations d'avant-garde des Ballets russes et du Théâtre des Arts de Jacques Rouché. La maison-palais de sa tante, Suzanne Stevens-Stoclet, édifiée de 1905 à 1911, à Bruxelles sur les plans de l'architecte autrichien Josef Hoffmann avec la collaboration de Gustav Klimt et de la Wiener Werkstatte, l'introduit dans l'univers de la Sécession dont il devient le prosélyte.
Mais bientôt les rumeurs de guerre l'incitent à prendre ses distances avec ce qu'on appelle en France" le goût munichois". II apprécie alors les lignes simples du style Directoire et ses couleurs vives. Ses articles dans Comoedia illustré le font entrer dans le cercle de la mode où il côtoie des créateurs illustres dont certains deviendront ses clients : Jeanne Paquin, Jacques Doucet, Paul Poiret...
A travers ses écrits de jeunesse on découvre un plumitif prolixe, cosmopolite et doté d'un oeil critique dans la lignée de ses illustres ascendants, les frères Stevens et sa grand-mère l'écrivain Jeanne Thilda dont le salon parisien a marqué les lettres françaises.
Voici rassemblés pour la première fois tous les articles de Rob Mallet-Stevens écrits entre sa sortie de l'Ecole Spéciale d'Architecture à Paris en 1906 et le début de la guerre, fin juillet 1914. Le jeune architecte commence par écrire dans une revue anglaise, puis dans des publications belges, françaises et autrichiennes. Ses premiers articles sont des reportages sur des édifices parisiens et des comptes rendus des salons d'art.
Puis, il s'attache à l'architecture traditionnelle japonaise et à l'art théâtral et à son évolution jusqu'aux créations d'avant-garde des Ballets russes et du Théâtre des Arts de Jacques Rouché. La maison-palais de sa tante, Suzanne Stevens-Stoclet, édifiée de 1905 à 1911, à Bruxelles sur les plans de l'architecte autrichien Josef Hoffmann avec la collaboration de Gustav Klimt et de la Wiener Werkstatte, l'introduit dans l'univers de la Sécession dont il devient le prosélyte.
Mais bientôt les rumeurs de guerre l'incitent à prendre ses distances avec ce qu'on appelle en France" le goût munichois". II apprécie alors les lignes simples du style Directoire et ses couleurs vives. Ses articles dans Comoedia illustré le font entrer dans le cercle de la mode où il côtoie des créateurs illustres dont certains deviendront ses clients : Jeanne Paquin, Jacques Doucet, Paul Poiret...
A travers ses écrits de jeunesse on découvre un plumitif prolixe, cosmopolite et doté d'un oeil critique dans la lignée de ses illustres ascendants, les frères Stevens et sa grand-mère l'écrivain Jeanne Thilda dont le salon parisien a marqué les lettres françaises.
Une cité moderne
Robert Mallet-Stevens
Beau Livre
180,00 €