Révision critique du cinéma brésilien

Par : Glauber Rocha

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 5 août et le 8 août
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages228
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-343-22629-3
  • EAN9782343226293
  • Date de parution27/05/2021
  • CollectionRecherches Amériques latines
  • ÉditeurL'Harmattan
  • TraducteurSylvie Debs
  • PréfacierPaulo Antonio Paranaguà

Résumé

Glauber Rocha, à peine âgé de 24 ans, mais déjà auteur de Barravento (1961), est en pleine réalisation de Le Dieu noir et le diable blond quand il publie Révision critique du cinéma brésilien en 1963. Malgré le véritable désert en livres d'histoire ou d'esthétique du cinéma qu'il affronte alors, le jeune créateur, producteur, journaliste et critique, cherche cependant à se situer dans une histoire du cinéma national et mondial. C'est ainsi qu'il dégage une ligne directrice lui permettant de désigner Humberto Mauro comme le père du cinéma brésilien. Il n'épargne guère la tentative d'industrialisation de la Vera Cruz, ni la production de chanchadas, pour exposer ce que devrait être le vrai cinéma selon lui. Théoricien, polémiste et militant, il définit les caractéristiques du cinema novo en train de naître, avant d'être stoppé par le coup d'Etat de 1964. L'édition que Sylvie Debs a très judicieusement choisie de traduire ici est celle d'Ismail Xavier_ le plus éminent interprète de Glauber Rocha _ enrichie, qui plus est, par une préface de Paulo Antonio Paranaguá, historien du cinéma et journaliste, grand passeur des cinémas d'Amérique latine en France.
Glauber Rocha, à peine âgé de 24 ans, mais déjà auteur de Barravento (1961), est en pleine réalisation de Le Dieu noir et le diable blond quand il publie Révision critique du cinéma brésilien en 1963. Malgré le véritable désert en livres d'histoire ou d'esthétique du cinéma qu'il affronte alors, le jeune créateur, producteur, journaliste et critique, cherche cependant à se situer dans une histoire du cinéma national et mondial. C'est ainsi qu'il dégage une ligne directrice lui permettant de désigner Humberto Mauro comme le père du cinéma brésilien. Il n'épargne guère la tentative d'industrialisation de la Vera Cruz, ni la production de chanchadas, pour exposer ce que devrait être le vrai cinéma selon lui. Théoricien, polémiste et militant, il définit les caractéristiques du cinema novo en train de naître, avant d'être stoppé par le coup d'Etat de 1964. L'édition que Sylvie Debs a très judicieusement choisie de traduire ici est celle d'Ismail Xavier_ le plus éminent interprète de Glauber Rocha _ enrichie, qui plus est, par une préface de Paulo Antonio Paranaguá, historien du cinéma et journaliste, grand passeur des cinémas d'Amérique latine en France.