République démocratique du Congo 13e tribune. Pourquoi je n'ai pas signé l'Accord du 18 octobre 2016 - La programmation d'un deuxième glissement inutile

Par : Adolphe Muzito
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  • Nombre de pages26
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.053 kg
  • Dimensions13,7 cm × 21,5 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-343-13733-9
  • EAN9782343137339
  • Date de parution01/12/2017
  • CollectionDossiers, études et documents
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le dialogue (de la Cité de l'Union africaine) devait aboutir à un accord politique consensuel sur la mise en place d'un calendrier réaliste et crédible pour des élections apaisées, transparentes et crédibles, sur le respect de la Constitution... et sur l'inclusivité. Malheureusement, constate Adolphe Muzito, par son contenu, sa procédure d'élaboration et son adoption, cet accord s'entoure de défaillances, d'incohérences à propos des séquences des élections et du calendrier électoral de la CENI ; l'agenda politique du "Comité restreint" ; l'absence d'une stratégie globale contre la triple crise politique, économique et sociale ; l'absence d'inclusivité.
Relevant une forme d'irrégularité dans les procédures d'élaboration et de l'adoption de l'accord, il conclut : "Je ne pouvais pas signer un document que je n'avais ni lu, ni adopté au préalable." Adolphe Muzito, depuis son accession au gouvernement de la République, comme ministre du Budget (2007-2008) puis Premier ministre (2008-2012), n'a jamais cessé de réfléchir sur la crise congolaise et d'y apporter des solutions idoines.
Le dialogue (de la Cité de l'Union africaine) devait aboutir à un accord politique consensuel sur la mise en place d'un calendrier réaliste et crédible pour des élections apaisées, transparentes et crédibles, sur le respect de la Constitution... et sur l'inclusivité. Malheureusement, constate Adolphe Muzito, par son contenu, sa procédure d'élaboration et son adoption, cet accord s'entoure de défaillances, d'incohérences à propos des séquences des élections et du calendrier électoral de la CENI ; l'agenda politique du "Comité restreint" ; l'absence d'une stratégie globale contre la triple crise politique, économique et sociale ; l'absence d'inclusivité.
Relevant une forme d'irrégularité dans les procédures d'élaboration et de l'adoption de l'accord, il conclut : "Je ne pouvais pas signer un document que je n'avais ni lu, ni adopté au préalable." Adolphe Muzito, depuis son accession au gouvernement de la République, comme ministre du Budget (2007-2008) puis Premier ministre (2008-2012), n'a jamais cessé de réfléchir sur la crise congolaise et d'y apporter des solutions idoines.