Renaissance Reflections. Essays in memory of C.A. Mayer

Par : Pauline Smith, Trevor Peach
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 17 juillet et le 31 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera expédié 2 à 4 semaines après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages280
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.51 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-7453-0586-7
  • EAN9782745305862
  • Date de parution01/05/2002
  • Collectionla renaissance francaise
  • ÉditeurHonoré Champion

Résumé

Dédié à la mémoire de l'éminent seiziémiste C.A. Mayer, ce volume d'études célèbre autant qu'il commémore ses travaux. Il reflète les multiples aspects de la Renaissance. Poésie, musique, peinture, piété, politique, échanges culturels, théâtre comique et satire, toutes ces facettes sont ici illuminées. Compte tenu du grand oeuvre de Mayer, l'édition critique de Clément Marot, ce sont, bien sûr, Marot lui-même, son milieu et son legs qui sont ici à la place d'honneur.
Des études sur l'épyllion biblique de Rémy Belleau et sur J.-A. Baif, traducteur, dans l'Eunuque nous représentent l'oeuvre de la Pléiade, tandis que les échanges culturels sont illustrés par la réception de Machiavel en France et par les visions de Rome récupérées par Montaigne. Le Cymbalum Mundi, la Satyre Ménippée et les monologues dramatiques de Bruscambille nous éclaircissent enfin certaines tendances de l'esprit satirique de la Renaissance.
Dédié à la mémoire de l'éminent seiziémiste C.A. Mayer, ce volume d'études célèbre autant qu'il commémore ses travaux. Il reflète les multiples aspects de la Renaissance. Poésie, musique, peinture, piété, politique, échanges culturels, théâtre comique et satire, toutes ces facettes sont ici illuminées. Compte tenu du grand oeuvre de Mayer, l'édition critique de Clément Marot, ce sont, bien sûr, Marot lui-même, son milieu et son legs qui sont ici à la place d'honneur.
Des études sur l'épyllion biblique de Rémy Belleau et sur J.-A. Baif, traducteur, dans l'Eunuque nous représentent l'oeuvre de la Pléiade, tandis que les échanges culturels sont illustrés par la réception de Machiavel en France et par les visions de Rome récupérées par Montaigne. Le Cymbalum Mundi, la Satyre Ménippée et les monologues dramatiques de Bruscambille nous éclaircissent enfin certaines tendances de l'esprit satirique de la Renaissance.