Régulation du marché des télécommunications en Afrique. L'exemple du Cameroun

Par : Georges Kibong A Mira

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  • Nombre de pages187
  • PrésentationBroché
  • Poids0.315 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-296-99268-9
  • EAN9782296992689
  • Date de parution01/06/2012
  • CollectionEtudes africaines
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierNicolas Curien

Résumé

Dans le domaine des télécommunications, le credo de la déréglementation généralise l'ouverture à la concurrence et se traduit ainsi par la privatisation. Nous savons que les OPT (Offices des postes et des télécommunications) africains sont tous dans un état critique : tant en ce qui concerne leur situation financière que l'état de leur réseau. Dès lors que l'on recommande aux pays africains une nouvelle organisation industrielle orientée vers une économie de marché, peut-on s'attendre légitimement à une amélioration des finances de l'Etat et du réseau des télécommunications ? La régulation ou la déréglementation, est-elle une étape nécessaire au développement ? La libéralisation du marché garantit-elle l'ouverture à une concurrence saine ? La privatisation est-elle une garantie de la libéralisation ? Pour atteindre certains objectifs, quelle politique de régulation ? Quel rôle de l'autorité de régulation ? Quel tribunal de la concurrence ? Quel statut pour les opérateurs télécoms ? Et surtout quel financement ? C'est à cette série d'interrogations que nous souhaitons répondre dans cet ouvrage.
Après une analyse positive du système, nous vous proposons une vision normative de notre démarche qui débouche sur une recherche qui débouche sur une recherche de synergie. Lorsque cette recherche s'effectue dès la formulation des projets, la Synergie Inter-Réseaux (SIR) leur offre ses effets positifs en termes financiers et d'économie globale, et se traduit par une fertilisation croisée particulièrement efficace.
Elle constitue ainsi le meilleur garant de leur viabilité.
Dans le domaine des télécommunications, le credo de la déréglementation généralise l'ouverture à la concurrence et se traduit ainsi par la privatisation. Nous savons que les OPT (Offices des postes et des télécommunications) africains sont tous dans un état critique : tant en ce qui concerne leur situation financière que l'état de leur réseau. Dès lors que l'on recommande aux pays africains une nouvelle organisation industrielle orientée vers une économie de marché, peut-on s'attendre légitimement à une amélioration des finances de l'Etat et du réseau des télécommunications ? La régulation ou la déréglementation, est-elle une étape nécessaire au développement ? La libéralisation du marché garantit-elle l'ouverture à une concurrence saine ? La privatisation est-elle une garantie de la libéralisation ? Pour atteindre certains objectifs, quelle politique de régulation ? Quel rôle de l'autorité de régulation ? Quel tribunal de la concurrence ? Quel statut pour les opérateurs télécoms ? Et surtout quel financement ? C'est à cette série d'interrogations que nous souhaitons répondre dans cet ouvrage.
Après une analyse positive du système, nous vous proposons une vision normative de notre démarche qui débouche sur une recherche qui débouche sur une recherche de synergie. Lorsque cette recherche s'effectue dès la formulation des projets, la Synergie Inter-Réseaux (SIR) leur offre ses effets positifs en termes financiers et d'économie globale, et se traduit par une fertilisation croisée particulièrement efficace.
Elle constitue ainsi le meilleur garant de leur viabilité.