Rafic Hariri. Un homme d'affaires premier ministre
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- Nombre de pages176
- PrésentationBroché
- Poids0.324 kg
- Dimensions1,6 cm × 2,4 cm × 0,1 cm
- ISBN2-7384-8495-6
- EAN9782738484956
- Date de parution01/01/1999
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Après un quart de siècle d'un incommensurable gâchis, le Liban aborde le XXIe siècle en lente convalescence accablé par la guerre et la gestion erratique du Président Elias Hraoui et de son premier ministre Rafic Hariri. Occupant pendant vingt ans le devant de la scène médiatique et politique (1978-1998), le milliardaire libano-saoudien, ami de la France, que ses partisans présentaient comme "le bâtisseur du Liban de demain" s'est révélé être pour ses détracteurs "le fossoyeur du patrimoine national".
Sa gestion s'est soldée par un désastre économique plus corrosif que quatorze ans de guerre intestine : la mise en coupe réglée de l'économie et un legs de près de 18 milliards de dollars au titre de la dette publique.
Sa gestion s'est soldée par un désastre économique plus corrosif que quatorze ans de guerre intestine : la mise en coupe réglée de l'économie et un legs de près de 18 milliards de dollars au titre de la dette publique.
Après un quart de siècle d'un incommensurable gâchis, le Liban aborde le XXIe siècle en lente convalescence accablé par la guerre et la gestion erratique du Président Elias Hraoui et de son premier ministre Rafic Hariri. Occupant pendant vingt ans le devant de la scène médiatique et politique (1978-1998), le milliardaire libano-saoudien, ami de la France, que ses partisans présentaient comme "le bâtisseur du Liban de demain" s'est révélé être pour ses détracteurs "le fossoyeur du patrimoine national".
Sa gestion s'est soldée par un désastre économique plus corrosif que quatorze ans de guerre intestine : la mise en coupe réglée de l'économie et un legs de près de 18 milliards de dollars au titre de la dette publique.
Sa gestion s'est soldée par un désastre économique plus corrosif que quatorze ans de guerre intestine : la mise en coupe réglée de l'économie et un legs de près de 18 milliards de dollars au titre de la dette publique.