Michel Guichard, 39 ans, originaire de Saint-Etienne, est un mordu de football. Sa vie est somme toute assez banale : il s’occupe de son chien et regarde le foot à la télé. Jusque-là rien de bien passionnant... Là où les choses se corsent c’est que son autre occupation est d’étrangler des femmes triées sur le volet. Et pour son plus grand malheur, il perd un sens (d’abord l’odorat, ensuite le goût et ainsi de suite…) après chaque meurtre commis.
Très peu de surprises dans ce récit, la quatrième de couverture nous dévoilant presque entièrement l’histoire. Pas d’énigmes, ni de mystère à résoudre non plus. L’originalité du roman que nous livre ici Caryl Férey est de savamment mêler récit noir et football. Il nous sert un récit complètement déjanté, un vrai délire sortant des sentiers battus. Utilisant un humour décalé, il est souvent à prendre au second degré.
Notre narrateur, Michel, y est décrit avec tous les pires stéréotypes du supporter de football que l’on peut imaginer. Son vocabulaire n’est pas ce que l’on pourrait appeler politiquement correct et pourrait en choquer plus d’un. Enchaînant sans cesse des allusions relatives aux matchs ainsi qu’aux joueurs, quelques connaissances en football et notamment l’histoire du club stéphanois sont peut être nécessaires pour pleinement apprécier le texte.
Au final, une bonne petite lecture rapide et récréative pour se vider la tête après une longue journée de travail mais sans plus.
Michel Guichard, 39 ans, originaire de Saint-Etienne, est un mordu de football. Sa vie est somme toute assez banale : il s’occupe de son chien et regarde le foot à la télé. Jusque-là rien de bien passionnant... Là où les choses se corsent c’est que son autre occupation est d’étrangler des femmes triées sur le volet. Et pour son plus grand malheur, il perd un sens (d’abord l’odorat, ensuite le goût et ainsi de suite…) après chaque meurtre commis.
Très peu de surprises dans ce récit, la quatrième de couverture nous dévoilant presque entièrement l’histoire. Pas d’énigmes, ni de mystère à résoudre non plus. L’originalité du roman que nous livre ici Caryl Férey est de savamment mêler récit noir et football. Il nous sert un récit complètement déjanté, un vrai délire sortant des sentiers battus. Utilisant un humour décalé, il est souvent à prendre au second degré.
Notre narrateur, Michel, y est décrit avec tous les pires stéréotypes du supporter de football que l’on peut imaginer. Son vocabulaire n’est pas ce que l’on pourrait appeler politiquement correct et pourrait en choquer plus d’un. Enchaînant sans cesse des allusions relatives aux matchs ainsi qu’aux joueurs, quelques connaissances en football et notamment l’histoire du club stéphanois sont peut être nécessaires pour pleinement apprécier le texte.
Au final, une bonne petite lecture rapide et récréative pour se vider la tête après une longue journée de travail mais sans plus.