Quand le moulin tourne.... Contes, comptines historiettes, balivernes, légendes et autres menteries
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juillet
- Nombre de pages354
- PrésentationBroché
- Poids0.47 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 3,0 cm
- ISBN2-84206-216-7
- EAN9782842062163
- Date de parution01/11/2002
- ÉditeurFontaine de Siloé (La)
Résumé
Au commencement, bien avant tout projet de collecte, il y eut l'émotion des images suscitées par des textes ou histoires de provenances diverses. Au plus lointain, celle des chansons de ma grand-mère sur les tragiques destinées de marins perdus en mer. Chantées à la tombée du jour, alors que mijotait la soupe sur le feu, que craquait le bois dans le foyer de la cuisinière, elles envahissaient nos soirs d'automne, transmettant au souffle de la bouilloire des mugissements océaniques. Celle des poésies apprises à l'école, des scénettes jouées au temple pour la fête de printemps. Je me souviens de L'Oiseau bleu, de la petite Tisseuse d'orties, de Renard que j'incarnais dans Le Petit Prince, de cette Flamme enfin qui m'avait valu, avant de monter sur scène, une friction énergique des joues pour avoir l'air plus flamboyant. Sylvette Béraud-Williams.
Au commencement, bien avant tout projet de collecte, il y eut l'émotion des images suscitées par des textes ou histoires de provenances diverses. Au plus lointain, celle des chansons de ma grand-mère sur les tragiques destinées de marins perdus en mer. Chantées à la tombée du jour, alors que mijotait la soupe sur le feu, que craquait le bois dans le foyer de la cuisinière, elles envahissaient nos soirs d'automne, transmettant au souffle de la bouilloire des mugissements océaniques. Celle des poésies apprises à l'école, des scénettes jouées au temple pour la fête de printemps. Je me souviens de L'Oiseau bleu, de la petite Tisseuse d'orties, de Renard que j'incarnais dans Le Petit Prince, de cette Flamme enfin qui m'avait valu, avant de monter sur scène, une friction énergique des joues pour avoir l'air plus flamboyant. Sylvette Béraud-Williams.