Pourquoi n'est-on plus accro à la Colombie ?

Par : Stephen Launay

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  • Nombre de pages120
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.132 kg
  • Dimensions10,2 cm × 19,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-36774-057-7
  • EAN9782367740577
  • Date de parution09/01/2017
  • CollectionEnquête d'ailleurs
  • ÉditeurHikari Editions

Résumé

La Colombie : une passion, une obsession française même. Car, oui, pendant des années, nous nous sommes passionnés pour la Colombie, il n'y avait pas un jour d'actualités françaises sans en entendre parler. Ce pays était le lieu d'un rêve romantique, celui du « bon révolutionnaire » contre le « dictateur Uribe », ce « détestable suppôt des Américains ». C'était le lieu d'un feuilleton romanesque à propos d'Íngrid Betancourt, otage des FARC dont la libération eut des implications jusque dans la vie politique française.
C'était enfin le lieu de fantasmes autour des cartels de la drogue à Medellín. Puis la Colombie a comme disparu, s'effaçant derrière l'image des narcotrafiquants, de la guerre civile permanente, du chaos social. Quelle imposture ! La réalité est bien différente de ce que ces stéréotypes véhiculent. Álvaro Uribe a quitté le pouvoir, paisiblement. Hugo Chávez, son ennemi autodéclaré, est mort. Les FARC peuvent bien être magnifiés dans quelques imaginaires, ils sont pratiquement terrassés.
Les paramilitaires ont quasiment disparu. Medellín n'est plus dans Medellín. Pendant ce temps, l'État colombien s'est renforcé pour protéger sa population. Les Colombiens ont à nouveau confiance dans leurs politiques, leur armée, leur police et dans l'ensemble de leurs institutions démocratiques et libérales. La Colombie, au bord de l'abîme à la fin des années 1990, vit aujourd'hui un véritable miracle.
Alors, face à une telle résurrection, pourquoi n'est-on plus accro à la Colombie ? Ce livre répond.
La Colombie : une passion, une obsession française même. Car, oui, pendant des années, nous nous sommes passionnés pour la Colombie, il n'y avait pas un jour d'actualités françaises sans en entendre parler. Ce pays était le lieu d'un rêve romantique, celui du « bon révolutionnaire » contre le « dictateur Uribe », ce « détestable suppôt des Américains ». C'était le lieu d'un feuilleton romanesque à propos d'Íngrid Betancourt, otage des FARC dont la libération eut des implications jusque dans la vie politique française.
C'était enfin le lieu de fantasmes autour des cartels de la drogue à Medellín. Puis la Colombie a comme disparu, s'effaçant derrière l'image des narcotrafiquants, de la guerre civile permanente, du chaos social. Quelle imposture ! La réalité est bien différente de ce que ces stéréotypes véhiculent. Álvaro Uribe a quitté le pouvoir, paisiblement. Hugo Chávez, son ennemi autodéclaré, est mort. Les FARC peuvent bien être magnifiés dans quelques imaginaires, ils sont pratiquement terrassés.
Les paramilitaires ont quasiment disparu. Medellín n'est plus dans Medellín. Pendant ce temps, l'État colombien s'est renforcé pour protéger sa population. Les Colombiens ont à nouveau confiance dans leurs politiques, leur armée, leur police et dans l'ensemble de leurs institutions démocratiques et libérales. La Colombie, au bord de l'abîme à la fin des années 1990, vit aujourd'hui un véritable miracle.
Alors, face à une telle résurrection, pourquoi n'est-on plus accro à la Colombie ? Ce livre répond.