Pommes de terre contre gratte-ciel. Critique de l'écologie politique
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- Nombre de pages216
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.14 kg
- Dimensions10,8 cm × 15,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-940426-69-0
- EAN9782940426690
- Date de parution24/05/2024
- ÉditeurEntremonde
Résumé
Plus la crise écologique s'aggrave, plus l'écologie devient une idéologie dominante. Elle nous promet un monde "décarboné" grâce au tout-électrique, au tout-numérique et au "nucléaire vert" . Mais capitalisme et écologie sont incompatibles. Le capitalisme repose sur l'exploitation de prolétaires dans des entreprises forcées par la concurrence d'accumuler plus de valeur que leurs rivales. La quête incessante de productivité entraîne surproduction, surconsommation...
aux effets destructeurs pour les prolétaires, pour l'humanité et pour la planète. Il n'y aura pas de "révolution écologique" sans révolution sociale qui rompt avec les rapports de classe.
aux effets destructeurs pour les prolétaires, pour l'humanité et pour la planète. Il n'y aura pas de "révolution écologique" sans révolution sociale qui rompt avec les rapports de classe.
Plus la crise écologique s'aggrave, plus l'écologie devient une idéologie dominante. Elle nous promet un monde "décarboné" grâce au tout-électrique, au tout-numérique et au "nucléaire vert" . Mais capitalisme et écologie sont incompatibles. Le capitalisme repose sur l'exploitation de prolétaires dans des entreprises forcées par la concurrence d'accumuler plus de valeur que leurs rivales. La quête incessante de productivité entraîne surproduction, surconsommation...
aux effets destructeurs pour les prolétaires, pour l'humanité et pour la planète. Il n'y aura pas de "révolution écologique" sans révolution sociale qui rompt avec les rapports de classe.
aux effets destructeurs pour les prolétaires, pour l'humanité et pour la planète. Il n'y aura pas de "révolution écologique" sans révolution sociale qui rompt avec les rapports de classe.