Dans le roman et la nouvelle du XIXe siècle, les séquences de mémoire affective font office d'échangeurs temporels, de péripéties et de rimes compositionnelles. Leur étude livre accès à la structure profonde des oeuvres ainsi qu'aux ressorts intimes de l'intrigue. Cet ouvrage le vérifie à partir d'un corpus de 170 textes.
Dans le roman et la nouvelle du XIXe siècle, les séquences de mémoire affective font office d'échangeurs temporels, de péripéties et de rimes compositionnelles. Leur étude livre accès à la structure profonde des oeuvres ainsi qu'aux ressorts intimes de l'intrigue. Cet ouvrage le vérifie à partir d'un corpus de 170 textes.