Née le 14 mai 1947 à Berlin, Anne Wiazemsky, petite fille de François Mauriac, est très vite attirée à la fois par le cinéma et la littérature. Elle a ainsi joué dans de nombreux films pour de grands réalisateurs : Robert Bresson, Paolo Pasolini, André Téchiné
Elle écrit également des scénarios et réalise des documentaires pour la télévision. En 1988 elle publie un recueil de nouvelles "Des filles bien élevées", puis des romans parmi lesquels "Hymne à l'amour" (1996), adapté au cinéma sous le titre "Toutes ces belles promesses". En 1998 paraît "Une poignée de gens" qui reçoit le Grand prix de l'Académie française et le Prix Renaudot des lycéens, suivi en 2006 de "Je m'appelle Elizabeth", adapté au cinéma par Jean-Pierre Arémis. En 2012 elle publie "Une année studieuse", récit de sa rencontre avec Jean-Luc Godard qu'elle a épousé en 1967. Elle a également écrit un livre pour enfants intitulé "Les visiteurs du soir" (2003) et des beaux livres comme "Il était une fois
les cafés" et "Tableaux de chats", tous deux parus en 2000.
Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 29 juillet et le 30 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 29 juillet et le 30 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages115
- PrésentationRelié
- Poids0.565 kg
- Dimensions19,0 cm × 24,3 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-07-013864-7
- EAN9782070138647
- Date de parution02/11/2012
- ÉditeurGallimard
Résumé
Au printemps 1967, avec le cachet de La Chinoise, je me suis offert un appareil photo : un Pentax et deux objectifs, un 50 et un 150 mm. Je n'avais pas d'autre ambition que celle de photographier mes proches, ceux que j'aimais. Ils faisaient des films et ça devient très vite une habitude que de me balader, sur les plateaux et à côté, avec mon Pentax en bandoulière.
Au printemps 1967, avec le cachet de La Chinoise, je me suis offert un appareil photo : un Pentax et deux objectifs, un 50 et un 150 mm. Je n'avais pas d'autre ambition que celle de photographier mes proches, ceux que j'aimais. Ils faisaient des films et ça devient très vite une habitude que de me balader, sur les plateaux et à côté, avec mon Pentax en bandoulière.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
1 Coup de cœur
de nos libraires