Philosophie politique et ontologie. Tome 2, Remarques sur la fonction de l'ontologie dans la constitution de la pensée politique

Par : Jean-Paul Coujou

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  • Nombre de pages205
  • PrésentationBroché
  • Poids0.365 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-296-00282-X
  • EAN9782296002821
  • Date de parution01/02/2006
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Avec ce deuxième volet de l'essai intitulé " Philosophie politique et ontologie ", l'auteur se propose de prolonger à un moment charnière de l'avènement de la modernité, le XVIIIe siècle, l'examen des concepts centraux de la pensée politique tels le droit naturel, les droits inaliénables, le contrat social, l'Etat, la souveraineté et la République, à la lumière des thèses métaphysiques qui les sous-tendent ou les légitiment (la représentation du monde et la compréhension de la réalité, la conception de la liberté et du bien...). Dans le premier tome, ces analyses ont été effectuées à partir de la pensée antique avec Platon et Aristote, en passant par la période de la Renaissance avec Suarez et la pensée moderne classique avec Hobbes et Spinoza. Le second volume avec Rousseau et Kant se focalise sur la pensée politique des Lumières et la crise de la métaphysique qui s'y rattache. A partir de l'articulation que met en place l'esprit critique entre la raison et l'histoire, la nature et la liberté, l'individuel et le collectif, apparaît un tournant décisif dans la représentation de l'humanité de l'homme et dans l'interprétation du devenir communautaire qui peut en découler. Une autre figure de l'existence collective prend désormais le relais pour s'imposer progressivement : celle d'une politique de la finitude prise dans le monde objectif de l'histoire.
Avec ce deuxième volet de l'essai intitulé " Philosophie politique et ontologie ", l'auteur se propose de prolonger à un moment charnière de l'avènement de la modernité, le XVIIIe siècle, l'examen des concepts centraux de la pensée politique tels le droit naturel, les droits inaliénables, le contrat social, l'Etat, la souveraineté et la République, à la lumière des thèses métaphysiques qui les sous-tendent ou les légitiment (la représentation du monde et la compréhension de la réalité, la conception de la liberté et du bien...). Dans le premier tome, ces analyses ont été effectuées à partir de la pensée antique avec Platon et Aristote, en passant par la période de la Renaissance avec Suarez et la pensée moderne classique avec Hobbes et Spinoza. Le second volume avec Rousseau et Kant se focalise sur la pensée politique des Lumières et la crise de la métaphysique qui s'y rattache. A partir de l'articulation que met en place l'esprit critique entre la raison et l'histoire, la nature et la liberté, l'individuel et le collectif, apparaît un tournant décisif dans la représentation de l'humanité de l'homme et dans l'interprétation du devenir communautaire qui peut en découler. Une autre figure de l'existence collective prend désormais le relais pour s'imposer progressivement : celle d'une politique de la finitude prise dans le monde objectif de l'histoire.