Philosophica. Tome 3, Conférence sur l'éthique, Remarques sur le "rameau d'or", Cours sur la liberté de la volonté

Par : Ludwig Wittgenstein
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  • Nombre de pages75
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.19 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-905670-45-2
  • EAN9782905670458
  • Date de parution01/12/2001
  • ÉditeurTrans-Europ-Repress
  • TraducteurJean-Pierre Cometti
  • TraducteurGérard Granel
  • TraducteurElisabeth Rigal

Résumé

Dans la série Philosophica nous traduisons et publions les différents textes édités par James C. Klagge et Alfred Nordmann et regroupés en un volume sous le titre : Ludwig Wittgenstein — Philosophical Occasions 1912-1951. Philosophica III réunit trois de ces textes : Le premier n'est autre que la célèbre Conférence sur l'éthique, prononcée devant "l'Heretics Society" en 1929 ; on y trouvera une explicitation — la seule que Wittgenstein ait jamais donnée — de la solution du "problème de la vie" qu'il avait proposée à l'époque du Tractatus et qui consistait à lier indissolublement la question éthique à "das Mystische".
Le second, les Remarques sur le "Rameau d'or" de Frazer (consignées en 1931, puis vraisemblablement à la fin des années 30), est fait de notes où alternent de libres réflexions suscitées par la lecture du Rameau d'or et des réactions (le plus souvent fort critiques) aux thèses qui y sont soutenues par Frazer. Il représente une étape décisive sur le chemin qui mène du Tractatus aux Recherches philosophiques.
Y émerge en effet le "point de vue pour ainsi dire anthropologique" que Wittgenstein fait expressément sien à la fin des années 30, et s'y imposent — déjà dans la partie écrite en 1931 — le concept de "représentation synoptique" et l'idée que "toute une mythologie est déposée dans notre langage". Quant au troisième, le Cours sur la liberté de la volonté (certainement donné en 1939), il est un plaidoyer pour la liberté qui s'insurge contre les arguments du type : s'il est vrai que "nos décisions sont déterminées par les circonstances de notre éducation et par l'ensemble de notre anatomie" ou bien que Dieu a fait de chacun de nous "un vase de colère ou un vase de miséricorde", alors nous ne pouvons être tenus pour responsables de nos actions.
Il s'agit donc pour lui de ramener les notions de liberté, responsabilité, etc., de leur "usage métaphysique" à leur "usage ordinaire" ; ce dont Wittgenstein s'acquitte en montrant que la Weltanschauung déterministe induite par l'idéal explicatif newtonien exerce sur nous une véritable tyrannie dénuée de tout fondement. E. R.
Dans la série Philosophica nous traduisons et publions les différents textes édités par James C. Klagge et Alfred Nordmann et regroupés en un volume sous le titre : Ludwig Wittgenstein — Philosophical Occasions 1912-1951. Philosophica III réunit trois de ces textes : Le premier n'est autre que la célèbre Conférence sur l'éthique, prononcée devant "l'Heretics Society" en 1929 ; on y trouvera une explicitation — la seule que Wittgenstein ait jamais donnée — de la solution du "problème de la vie" qu'il avait proposée à l'époque du Tractatus et qui consistait à lier indissolublement la question éthique à "das Mystische".
Le second, les Remarques sur le "Rameau d'or" de Frazer (consignées en 1931, puis vraisemblablement à la fin des années 30), est fait de notes où alternent de libres réflexions suscitées par la lecture du Rameau d'or et des réactions (le plus souvent fort critiques) aux thèses qui y sont soutenues par Frazer. Il représente une étape décisive sur le chemin qui mène du Tractatus aux Recherches philosophiques.
Y émerge en effet le "point de vue pour ainsi dire anthropologique" que Wittgenstein fait expressément sien à la fin des années 30, et s'y imposent — déjà dans la partie écrite en 1931 — le concept de "représentation synoptique" et l'idée que "toute une mythologie est déposée dans notre langage". Quant au troisième, le Cours sur la liberté de la volonté (certainement donné en 1939), il est un plaidoyer pour la liberté qui s'insurge contre les arguments du type : s'il est vrai que "nos décisions sont déterminées par les circonstances de notre éducation et par l'ensemble de notre anatomie" ou bien que Dieu a fait de chacun de nous "un vase de colère ou un vase de miséricorde", alors nous ne pouvons être tenus pour responsables de nos actions.
Il s'agit donc pour lui de ramener les notions de liberté, responsabilité, etc., de leur "usage métaphysique" à leur "usage ordinaire" ; ce dont Wittgenstein s'acquitte en montrant que la Weltanschauung déterministe induite par l'idéal explicatif newtonien exerce sur nous une véritable tyrannie dénuée de tout fondement. E. R.
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