Philippe le Bel et l'Affaire des brus 1314. Nouvelle enquête sur une affaire d'Etat ou pourquoi les femmes n'ont jamais régné en France
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- Nombre de pages260
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.405 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-343-20371-3
- EAN9782343203713
- Date de parution04/06/2020
- CollectionHistoriques. Travaux
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierEliane Viennot
Résumé
En avril 1314, les trois belles-filles du roi Philippe le Bel ont été accusées d'adultère et condamnées à des emprisonnements impitoyables. Pendant trois années, elles auraient entretenu une liaison avec des chevaliers au service des princes. L'autrice s'est interrogée sur le bien-fondé de cette surprenante accusation, dont l'histoire enseigne qu'elle est un moyen couramment utilisé par les hommes pour diffamer les femmes de pouvoir.
Elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle sur les "rois maudits" et la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes tiennent une place exceptionnelle.
Elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle sur les "rois maudits" et la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes tiennent une place exceptionnelle.
En avril 1314, les trois belles-filles du roi Philippe le Bel ont été accusées d'adultère et condamnées à des emprisonnements impitoyables. Pendant trois années, elles auraient entretenu une liaison avec des chevaliers au service des princes. L'autrice s'est interrogée sur le bien-fondé de cette surprenante accusation, dont l'histoire enseigne qu'elle est un moyen couramment utilisé par les hommes pour diffamer les femmes de pouvoir.
Elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle sur les "rois maudits" et la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes tiennent une place exceptionnelle.
Elle démontre non seulement que les princesses n'étaient pas coupables du crime d'adultère, mais que des raisons politiques ont conduit à leur élimination. Elle propose une analyse nouvelle sur les "rois maudits" et la fin du règne de Philippe le Bel, où les femmes tiennent une place exceptionnelle.