La poésie de Pennequin ne se lit pas le soir pour faire de beaux rêves. Ses mots éructent et remuent la figure du père depuis des années, dans une langue débridéen carnavalesque, qui emporte tout sauf le 'soi', celui à partir duquel il construit une œuvre monstre que je vous encourage à découvrir !
La poésie de Pennequin ne se lit pas le soir pour faire de beaux rêves. Ses mots éructent et remuent la figure du père depuis des années, dans une langue débridéen carnavalesque, qui emporte tout sauf le 'soi', celui à partir duquel il construit une œuvre monstre que je vous encourage à découvrir !