Penser la notion de rencontre
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- Nombre de pages226
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.28 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-343-12038-6
- EAN9782343120386
- Date de parution16/05/2017
- CollectionOuverture philosophique
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Déterminer conceptuellement la notion de rencontre : c'est l'objet de ce travail. Dans cette étude construite à partir d'un dialogue avec Max Scheler (Nature et formes de la sympathie), l'auteur veut montrer que la rencontre n'est pas une expérience que nous faisons, mais qu'elle s'offre plutôt comme une expérience qui nous fait, nous transforme, nous donne à advenir. Faire apparaître que la rencontre fournit une réponse à la question "qui suis-je" est donc l'un des buts que s'assigne Jean-Louis Bischoff.
Ce faisant, il entend honorer le sens hébreu du mot rencontre (matsa) qui signifie tout à la fois, trouver, découvrir, recevoir. Faire surgir l'idée selon laquelle la rencontre (amicale, amoureuse, textuelle, spirituelle) peut permettre de combattre (le premier sens avéré du mot rencontre en français est "action de combattre") les illusions d'un moi rabougri et contre dynamisé par le tout à l'ego est en conséquence la tâche ultime que l'auteur se donne.
Ce faisant, il entend honorer le sens hébreu du mot rencontre (matsa) qui signifie tout à la fois, trouver, découvrir, recevoir. Faire surgir l'idée selon laquelle la rencontre (amicale, amoureuse, textuelle, spirituelle) peut permettre de combattre (le premier sens avéré du mot rencontre en français est "action de combattre") les illusions d'un moi rabougri et contre dynamisé par le tout à l'ego est en conséquence la tâche ultime que l'auteur se donne.
Déterminer conceptuellement la notion de rencontre : c'est l'objet de ce travail. Dans cette étude construite à partir d'un dialogue avec Max Scheler (Nature et formes de la sympathie), l'auteur veut montrer que la rencontre n'est pas une expérience que nous faisons, mais qu'elle s'offre plutôt comme une expérience qui nous fait, nous transforme, nous donne à advenir. Faire apparaître que la rencontre fournit une réponse à la question "qui suis-je" est donc l'un des buts que s'assigne Jean-Louis Bischoff.
Ce faisant, il entend honorer le sens hébreu du mot rencontre (matsa) qui signifie tout à la fois, trouver, découvrir, recevoir. Faire surgir l'idée selon laquelle la rencontre (amicale, amoureuse, textuelle, spirituelle) peut permettre de combattre (le premier sens avéré du mot rencontre en français est "action de combattre") les illusions d'un moi rabougri et contre dynamisé par le tout à l'ego est en conséquence la tâche ultime que l'auteur se donne.
Ce faisant, il entend honorer le sens hébreu du mot rencontre (matsa) qui signifie tout à la fois, trouver, découvrir, recevoir. Faire surgir l'idée selon laquelle la rencontre (amicale, amoureuse, textuelle, spirituelle) peut permettre de combattre (le premier sens avéré du mot rencontre en français est "action de combattre") les illusions d'un moi rabougri et contre dynamisé par le tout à l'ego est en conséquence la tâche ultime que l'auteur se donne.