Penser, cadrer : le projet du cadre

Par : Guillaume Soulez, Bruno Péquignot

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 11 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages256
  • PrésentationBroché
  • Poids0.47 kg
  • Dimensions16,2 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-7384-7921-9
  • EAN9782738479211
  • Date de parution22/07/1999
  • CollectionChamps visuels
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Aucune image ne paraît échapper à la force de la bordure, à la pression d'une limite, au geste du découpage : au cadre. Mais le pouvoir du cadre est fragile : dès que nous nous demandons " d'où vient le cadre ? ", il apparaît comme la marque d'un processus, l'aboutissement d'un choix. Le cadre n'est donc pas seulement cet objet, souvent rectangulaire, qui impose une composition ou installe les repères d'un dispositif, il témoigne aussi d'un projet visuel. En ce sens, la pensée se saisit du cadre avant de l'imposer, elle en évolue les possibilités, les variations, les modalités. L'espace s'y montre alors sous la forme d'ébauches, le point de vue cherche un axe, le bord est incertain. Aux prises avec des portions d'espace, des jeux sur la limite, le spectateur désorienté peut produire un cadre tout à la fois présupposé et évanescent. Dans ce numéro - où est traduit un texte de référence d'Edward Branigan sur la caméra comme construction du spectateur - les différents médiums du cadre, dont ceux qui s'offrent " sans cadre " (images virtuelles), sont ainsi interrogés du bord vers l'intérieur.
Aucune image ne paraît échapper à la force de la bordure, à la pression d'une limite, au geste du découpage : au cadre. Mais le pouvoir du cadre est fragile : dès que nous nous demandons " d'où vient le cadre ? ", il apparaît comme la marque d'un processus, l'aboutissement d'un choix. Le cadre n'est donc pas seulement cet objet, souvent rectangulaire, qui impose une composition ou installe les repères d'un dispositif, il témoigne aussi d'un projet visuel. En ce sens, la pensée se saisit du cadre avant de l'imposer, elle en évolue les possibilités, les variations, les modalités. L'espace s'y montre alors sous la forme d'ébauches, le point de vue cherche un axe, le bord est incertain. Aux prises avec des portions d'espace, des jeux sur la limite, le spectateur désorienté peut produire un cadre tout à la fois présupposé et évanescent. Dans ce numéro - où est traduit un texte de référence d'Edward Branigan sur la caméra comme construction du spectateur - les différents médiums du cadre, dont ceux qui s'offrent " sans cadre " (images virtuelles), sont ainsi interrogés du bord vers l'intérieur.
Qu'est-ce que le virtuel ?
Olga Kobryn, Macha Ovtchinnikova, Guillaume Soulez
Grand Format
25,00 €
Goldorak
4/5
Sarah Hatchuel, Marie Pruvost-Delaspre
E-book
8,99 €