"L'adolescence est un état qui devrait se poursuivre éternellement, et, d'ailleurs, en réalité, n'existe-t-elle pas toujours en nous ? Or, si c'est bien le cas, pourquoi parvenons-nous à la mépriser à ce point ? " Cette interrogation du héros de "La cigarette", oeuvre de jeunesse, parcourt chaque page de ces nouvelles écrites de 1946 à 1965. L'adolescence, son intransigeance, sa soif d'idéal et de pureté, sa hâte.
L'adolescence qui est l'art même, enfin, et, à ce titre, aussi souvent bafouée que lui dans la société des adultes, la société des "moutons", de ceux qui, indifférents, passent habilement au travers des souffrances et des passions.
"L'adolescence est un état qui devrait se poursuivre éternellement, et, d'ailleurs, en réalité, n'existe-t-elle pas toujours en nous ? Or, si c'est bien le cas, pourquoi parvenons-nous à la mépriser à ce point ? " Cette interrogation du héros de "La cigarette", oeuvre de jeunesse, parcourt chaque page de ces nouvelles écrites de 1946 à 1965. L'adolescence, son intransigeance, sa soif d'idéal et de pureté, sa hâte.
L'adolescence qui est l'art même, enfin, et, à ce titre, aussi souvent bafouée que lui dans la société des adultes, la société des "moutons", de ceux qui, indifférents, passent habilement au travers des souffrances et des passions.