Pas de transition sans transe. Essai d’écologie politique des savoirs

Par : Jean-Louis Tornatore
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 12 août et le 21 août
      Cet article doit être commandé chez un fournisseur. Votre colis vous sera expédié 8 à 17 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Disponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-36751-034-7
  • EAN9782367510347
  • Date de parution27/10/2023
  • ÉditeurDehors

Résumé

La transition appelle la transe, telle est l'hypothèse de ce livre engagé dans la réflexion sur le monde à naître dans les ruines de l'Anthropocène. Composé en dix-sept tableaux, l'auteur s'appuie sur trois traditions occidentales – l'anthropologie, la recherche théâtrale et la philosophie pragmatiste – pour suggérer la composition d'un art de transe pour le XXIe siècle. A parcourir les passages entre Nord et Sud, à considérer les résurgences de traditions marginalisées ou occultées, à reconnaître les luttes des peuples autochtones et leurs interpellations décoloniales, il interroge la possibilité d'un monde attentionné ; un monde où la transe porte entre le visible et l'invisible, et prend également une valeur métaphorique : est-il possible que l'Occident entre en transe ? Est-il possible qu'il s'ouvre à une écologie politique des savoirs et des différences pour façonner une réalité acceptable pour la transition écologique des sociétés modernes, vers un monde à plusieurs mondes ?
La transition appelle la transe, telle est l'hypothèse de ce livre engagé dans la réflexion sur le monde à naître dans les ruines de l'Anthropocène. Composé en dix-sept tableaux, l'auteur s'appuie sur trois traditions occidentales – l'anthropologie, la recherche théâtrale et la philosophie pragmatiste – pour suggérer la composition d'un art de transe pour le XXIe siècle. A parcourir les passages entre Nord et Sud, à considérer les résurgences de traditions marginalisées ou occultées, à reconnaître les luttes des peuples autochtones et leurs interpellations décoloniales, il interroge la possibilité d'un monde attentionné ; un monde où la transe porte entre le visible et l'invisible, et prend également une valeur métaphorique : est-il possible que l'Occident entre en transe ? Est-il possible qu'il s'ouvre à une écologie politique des savoirs et des différences pour façonner une réalité acceptable pour la transition écologique des sociétés modernes, vers un monde à plusieurs mondes ?