Participations et citoyennetés depuis le printemps arabe

Par : Antoniy Galabov, Jamil Sayah

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  • Nombre de pages232
  • PrésentationBroché
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions13,7 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-336-00399-3
  • EAN9782336003993
  • Date de parution01/12/2012
  • CollectionLocal & Global
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le Printemps arabe, étendu à d'autres pays, induit un dialogue des révoltes, un rapprochement possible avec la globalisation numérique. Les populations investissent médias et réseaux sociaux qui semblent jouer désormais un rôle incontournable, non seulement dans l'organisation de la communication au quotidien, mais aussi dans la production même de l'information. Les moyens de communication ne font certes pas les Révolutions, mais ils interdisent les black-out comme les désinformations officielles et, peut-être surtout, ils autorisent les communications entre acteurs, engagés ou curieux.
Alors le problème n'est pas de savoir si l'Internet en lui-même sert ou non la démocratie, il s'agit de tenter de comprendre comment son appropriation et ses usages constituent ou complètent l'exercice de la citoyenneté. S'agit-il d'un renouveau du politique, alors que, vingt ans après les révolutions de velours, la corruption et l'irresponsabilité des élites, un désintérêt manifeste pour la politique, en particulier pour l'exercice du droit de vote, et une globalisation économique et idéologique menacent démocratie et citoyenneté ?
Le Printemps arabe, étendu à d'autres pays, induit un dialogue des révoltes, un rapprochement possible avec la globalisation numérique. Les populations investissent médias et réseaux sociaux qui semblent jouer désormais un rôle incontournable, non seulement dans l'organisation de la communication au quotidien, mais aussi dans la production même de l'information. Les moyens de communication ne font certes pas les Révolutions, mais ils interdisent les black-out comme les désinformations officielles et, peut-être surtout, ils autorisent les communications entre acteurs, engagés ou curieux.
Alors le problème n'est pas de savoir si l'Internet en lui-même sert ou non la démocratie, il s'agit de tenter de comprendre comment son appropriation et ses usages constituent ou complètent l'exercice de la citoyenneté. S'agit-il d'un renouveau du politique, alors que, vingt ans après les révolutions de velours, la corruption et l'irresponsabilité des élites, un désintérêt manifeste pour la politique, en particulier pour l'exercice du droit de vote, et une globalisation économique et idéologique menacent démocratie et citoyenneté ?