Paroles des fronts oubliés. Médoc - Royan - La Rochelle 1944-1945
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 26 juinCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 26 juin
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Disponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- ISBN978-2-8177-1173-7
- EAN9782817711737
- Date de parution06/09/2024
- ÉditeurSud Ouest (Editions)
Résumé
Les poches de l'Atlantique sont des zones, de Lorient au Médoc, en passant par Royan et La Rochelle, où des garnisons allemandes sont restées retranchées, bien après le Débarquement de Normandie, jusqu'en mai 1945. Le siège de ces poches reposa sur des combattants français, principalement issus des FFI, pendant de longs mois. Ces volontaires ont vécu un quotidien d'attente, d'espoir mais aussi d'expectative que cet ouvrage propose de restituer. Stéphane Weiss a travaillé sur un corpus peu exploité, les six journaux hebdomadaires édités sur les fronts de Charente-Maritime et les reportages parus dans la presse d'alors, dont Sud Ouest, ainsi que sur un roman de Robert Escarpit rédigé en 1945, sur le front du Médoc. Les soldats s'expriment sous différentes formes, parfois en termes crus : récits, revendications mais aussi chansons, poèmes et même histoires drôles nées sur le front. Cette matière permet de revisiter la connaissance du siège des poches du Sud-Ouest en donnant la parole, par-delà les décennies, à ces volontaires mais aussi aux auxiliaires féminines qui les accompagnèrent.
Les poches de l'Atlantique sont des zones, de Lorient au Médoc, en passant par Royan et La Rochelle, où des garnisons allemandes sont restées retranchées, bien après le Débarquement de Normandie, jusqu'en mai 1945. Le siège de ces poches reposa sur des combattants français, principalement issus des FFI, pendant de longs mois. Ces volontaires ont vécu un quotidien d'attente, d'espoir mais aussi d'expectative que cet ouvrage propose de restituer. Stéphane Weiss a travaillé sur un corpus peu exploité, les six journaux hebdomadaires édités sur les fronts de Charente-Maritime et les reportages parus dans la presse d'alors, dont Sud Ouest, ainsi que sur un roman de Robert Escarpit rédigé en 1945, sur le front du Médoc. Les soldats s'expriment sous différentes formes, parfois en termes crus : récits, revendications mais aussi chansons, poèmes et même histoires drôles nées sur le front. Cette matière permet de revisiter la connaissance du siège des poches du Sud-Ouest en donnant la parole, par-delà les décennies, à ces volontaires mais aussi aux auxiliaires féminines qui les accompagnèrent.