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- Nombre de pages215
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.366 kg
- Dimensions15,1 cm × 22,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-8132-2864-2
- EAN9782813228642
- Date de parution19/01/2023
- ÉditeurGuy Trédaniel
- PréfacierDidier Van Cauwelaert
- PréfacierMichèle Rivasi
- PostfacierMaud Marian
- PostfacierLaurent Mucchielli
Résumé
Ecoutons enfin le personnel soignant invisibilisé et rejeté par la Société car non vacciné ! " Nous, soignants, applaudis en 2020 et trahis en 2021, encore dans l'oubli en 2022, comprenons tous ceux qui ont cédé car nous vivons la même pression acharnée destinée à nous faire plier devant l'autorité hiérarchique. " Cette phrase résume à elle seule le ton de cet ouvrage nécessaire et engagé. Ce livre donne enfin un espace d'expression aux soignants suspendus car non vaccinés.
Il dénonce la maltraitance qui s'est abattue sur les professions du soin, du secours, du médico-social et de la Santé, dans les secteurs privés, publics et libéraux, lorsque le gouvernement a décidé de voter une loi jugée inégale, délétère et discriminante, provoquant la précarité de dizaine de milliers de " soignants ". Pour la première fois, Elsa Ruillère donne la parole à une quarantaine de personnes, dont des personnels soignants (qui officient dans le public et le privé), des personnels administratifs et des pompiers qui ont tous et toutes été suspendus car non vaccinés.
Ils et elles racontent les discriminations subies, les difficultés financières rencontrées, la marginalisation, les moyens de pression mis en place par leur hiérarchie pour les faire céder. Ces témoignages sont essentiels pour nous révéler une réalité passée sous silence par les médias et par le gouvernement. En préambule, Elsa Ruillère prend le temps d'expliquer la situation mise en place et les changements de loi qui ont permis cette mise au ban de la société d'un personnel adulé quelques mois plus tôt et porté au nu au début de l'épidémie.
Il dénonce la maltraitance qui s'est abattue sur les professions du soin, du secours, du médico-social et de la Santé, dans les secteurs privés, publics et libéraux, lorsque le gouvernement a décidé de voter une loi jugée inégale, délétère et discriminante, provoquant la précarité de dizaine de milliers de " soignants ". Pour la première fois, Elsa Ruillère donne la parole à une quarantaine de personnes, dont des personnels soignants (qui officient dans le public et le privé), des personnels administratifs et des pompiers qui ont tous et toutes été suspendus car non vaccinés.
Ils et elles racontent les discriminations subies, les difficultés financières rencontrées, la marginalisation, les moyens de pression mis en place par leur hiérarchie pour les faire céder. Ces témoignages sont essentiels pour nous révéler une réalité passée sous silence par les médias et par le gouvernement. En préambule, Elsa Ruillère prend le temps d'expliquer la situation mise en place et les changements de loi qui ont permis cette mise au ban de la société d'un personnel adulé quelques mois plus tôt et porté au nu au début de l'épidémie.
Ecoutons enfin le personnel soignant invisibilisé et rejeté par la Société car non vacciné ! " Nous, soignants, applaudis en 2020 et trahis en 2021, encore dans l'oubli en 2022, comprenons tous ceux qui ont cédé car nous vivons la même pression acharnée destinée à nous faire plier devant l'autorité hiérarchique. " Cette phrase résume à elle seule le ton de cet ouvrage nécessaire et engagé. Ce livre donne enfin un espace d'expression aux soignants suspendus car non vaccinés.
Il dénonce la maltraitance qui s'est abattue sur les professions du soin, du secours, du médico-social et de la Santé, dans les secteurs privés, publics et libéraux, lorsque le gouvernement a décidé de voter une loi jugée inégale, délétère et discriminante, provoquant la précarité de dizaine de milliers de " soignants ". Pour la première fois, Elsa Ruillère donne la parole à une quarantaine de personnes, dont des personnels soignants (qui officient dans le public et le privé), des personnels administratifs et des pompiers qui ont tous et toutes été suspendus car non vaccinés.
Ils et elles racontent les discriminations subies, les difficultés financières rencontrées, la marginalisation, les moyens de pression mis en place par leur hiérarchie pour les faire céder. Ces témoignages sont essentiels pour nous révéler une réalité passée sous silence par les médias et par le gouvernement. En préambule, Elsa Ruillère prend le temps d'expliquer la situation mise en place et les changements de loi qui ont permis cette mise au ban de la société d'un personnel adulé quelques mois plus tôt et porté au nu au début de l'épidémie.
Il dénonce la maltraitance qui s'est abattue sur les professions du soin, du secours, du médico-social et de la Santé, dans les secteurs privés, publics et libéraux, lorsque le gouvernement a décidé de voter une loi jugée inégale, délétère et discriminante, provoquant la précarité de dizaine de milliers de " soignants ". Pour la première fois, Elsa Ruillère donne la parole à une quarantaine de personnes, dont des personnels soignants (qui officient dans le public et le privé), des personnels administratifs et des pompiers qui ont tous et toutes été suspendus car non vaccinés.
Ils et elles racontent les discriminations subies, les difficultés financières rencontrées, la marginalisation, les moyens de pression mis en place par leur hiérarchie pour les faire céder. Ces témoignages sont essentiels pour nous révéler une réalité passée sous silence par les médias et par le gouvernement. En préambule, Elsa Ruillère prend le temps d'expliquer la situation mise en place et les changements de loi qui ont permis cette mise au ban de la société d'un personnel adulé quelques mois plus tôt et porté au nu au début de l'épidémie.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
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“ Paroles de funambules et vies en suspens ”
Il y a presque quelque chose d'indécent à noter, évaluer, estimer via des étoiles ou des pouces levés des récits de vie, de vies brisées, suspendues au-dessus du vide d'une solidarité et d'une humanité collectives qui nous ont fait défaut car nous portons tous la responsabilité et la honte de ces désormais 500 jours d'ignominie. Mais puisque c'est l'un des moyens de donner de la visibilité à cet ouvrage dont les droits d'auteur seront pour moitié reversé par Elsa Ruillère aux collectifs de soignants suspendus, il n'y a pas à hésiter. D'avance, merci pour eux.
Il y a eu un million et demi de personnes dans la rue contre la réforme des retraites ; où étaient-elles pour défendre ces personnels ? Et ces syndicats aujourd'hui “vent debout”, où étaient-ils en Septembre 2021 pour défendre le droit au travail et celui à une vie digne ?
Qu'en est-il de cet argument distillé tout le temps et partout : "tous les pays d'Europe ont procédé à la réforme des retraites ; alors pourquoi pas la France ?"
A l'exception de la Hongrie, tous les pays ont mis fin à l'obligation d'injection pour les catégories de personnels initialement visées ; alors pourquoi la France s'entête-t-elle?
Le président de la République ne ment pas sur tout finalement car il avait prévenu que certains d'entre-nous ne méritions plus d'être considérés comme des citoyens. Sans doute, faut-il être déchu de ce statut en effet pour ne plus pouvoir prétendre au droit à un consentement "libre et éclairé". Sans doute, ne faut-il plus être tout à fait un citoyen pour que l'on décide de cette mise sous tutelle en ne reconnaissant plus aux personnes la légitimité de défendre et de répondre de leur intégrité physique.
On parle "d'indignations à géométrie variable". Si tel est le cas, il est urgent d'abandonner les axiomes de la géométrie euclidienne pour se placer en géométrie sphérique de sorte que les lignes strictement parallèles de la réalité scientifique et des décisions politiques, qui s'ignorent dramatiquement depuis plus de 500 jours, se croisent enfin. Il est temps de changer de courbure.
Je ne sais pas si, comme on l'entend parfois, nous sommes condamnés au malheur car nous avons reconduit à la tête du pays un enfant capricieux, vicieux et buté mais ce qui est certain, c'est que nous y avons reconduit un être “hybride,” bien humain mais pourtant doté d'une empathie et d'une intelligence ... artificielles. Il s'agit donc de retrouver de toute urgence un esprit de corps (notamment médical et enseignant) afin de redoubler de vigilance et d'énergie pour éviter que ne se disloquent définitivement la liberté, l'égalité et la fraternité. Il s'agit enfin de peser de tout notre poids pour rompre enfin le fil auquel ont été injustement suspendus ces soignants ; mais pas seulement.
Il y a presque quelque chose d'indécent à noter, évaluer, estimer via des étoiles ou des pouces levés des récits de vie, de vies brisées, suspendues au-dessus du vide d'une solidarité et d'une humanité collectives qui nous ont fait défaut car nous portons tous la responsabilité et la honte de ces désormais 500 jours d'ignominie. Mais puisque c'est l'un des moyens de donner de la visibilité à cet ouvrage dont les droits d'auteur seront pour moitié reversé par Elsa Ruillère aux collectifs de soignants suspendus, il n'y a pas à hésiter. D'avance, merci pour eux.
Il y a eu un million et demi de personnes dans la rue contre la réforme des retraites ; où étaient-elles pour défendre ces personnels ? Et ces syndicats aujourd'hui “vent debout”, où étaient-ils en Septembre 2021 pour défendre le droit au travail et celui à une vie digne ?
Qu'en est-il de cet argument distillé tout le temps et partout : "tous les pays d'Europe ont procédé à la réforme des retraites ; alors pourquoi pas la France ?"
A l'exception de la Hongrie, tous les pays ont mis fin à l'obligation d'injection pour les catégories de personnels initialement visées ; alors pourquoi la France s'entête-t-elle?
Le président de la République ne ment pas sur tout finalement car il avait prévenu que certains d'entre-nous ne méritions plus d'être considérés comme des citoyens. Sans doute, faut-il être déchu de ce statut en effet pour ne plus pouvoir prétendre au droit à un consentement "libre et éclairé". Sans doute, ne faut-il plus être tout à fait un citoyen pour que l'on décide de cette mise sous tutelle en ne reconnaissant plus aux personnes la légitimité de défendre et de répondre de leur intégrité physique.
On parle "d'indignations à géométrie variable". Si tel est le cas, il est urgent d'abandonner les axiomes de la géométrie euclidienne pour se placer en géométrie sphérique de sorte que les lignes strictement parallèles de la réalité scientifique et des décisions politiques, qui s'ignorent dramatiquement depuis plus de 500 jours, se croisent enfin. Il est temps de changer de courbure.
Je ne sais pas si, comme on l'entend parfois, nous sommes condamnés au malheur car nous avons reconduit à la tête du pays un enfant capricieux, vicieux et buté mais ce qui est certain, c'est que nous y avons reconduit un être “hybride,” bien humain mais pourtant doté d'une empathie et d'une intelligence ... artificielles. Il s'agit donc de retrouver de toute urgence un esprit de corps (notamment médical et enseignant) afin de redoubler de vigilance et d'énergie pour éviter que ne se disloquent définitivement la liberté, l'égalité et la fraternité. Il s'agit enfin de peser de tout notre poids pour rompre enfin le fil auquel ont été injustement suspendus ces soignants ; mais pas seulement.
A propos de Elsa Ruillère