Paris détruit. Du vandalisme architectural aux grandes opérations d'urbanisme

Par : Pierre Pinon
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  • Nombre de pages317
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids2.42 kg
  • Dimensions26,0 cm × 31,8 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-84096-638-8
  • EAN9782840966388
  • Date de parution22/09/2011
  • ÉditeurParigramme

Résumé

Pourquoi démolit-on ? Relativement épargnée par les guerres ou par les incendies, Paris a été affectée en profondeur par les destructions volontaires. C'est d'abord pour des raisons financières qu'on met à bas avant de reconstruire : nombre d'hôtels particuliers sont lotis pour être rentabilisés. La destruction est aussi le fait d'opérations d'urbanisme : alignement de rues existantes ou percement de voies nouvelles, mais aussi éradication des îlots insalubres ou désaffection de certains bâtiments comme les Halles ou les prisons parisiennes.
Enfin, on abat parfois pour des raisons symboliques. La démolition de la Bastille est le premier acte de la Révolution, tandis que la Commune détruit sans retenue, de la maison de Thiers aux Tuileries dont les ruines restent longtemps exposées au public. Dressant le sombre bilan des disparitions, l'auteur ne s'en tient pas à une dénonciation convenue du " vandalisme ", mais montre l'émergence d'une conscience patrimoniale en évolution constante depuis le XIXe siècle.
Pourquoi démolit-on ? Relativement épargnée par les guerres ou par les incendies, Paris a été affectée en profondeur par les destructions volontaires. C'est d'abord pour des raisons financières qu'on met à bas avant de reconstruire : nombre d'hôtels particuliers sont lotis pour être rentabilisés. La destruction est aussi le fait d'opérations d'urbanisme : alignement de rues existantes ou percement de voies nouvelles, mais aussi éradication des îlots insalubres ou désaffection de certains bâtiments comme les Halles ou les prisons parisiennes.
Enfin, on abat parfois pour des raisons symboliques. La démolition de la Bastille est le premier acte de la Révolution, tandis que la Commune détruit sans retenue, de la maison de Thiers aux Tuileries dont les ruines restent longtemps exposées au public. Dressant le sombre bilan des disparitions, l'auteur ne s'en tient pas à une dénonciation convenue du " vandalisme ", mais montre l'émergence d'une conscience patrimoniale en évolution constante depuis le XIXe siècle.
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